Les opposants de circonstance !

Hier courtisans du chef de l'Etat, aujourd'hui, ils se découvrent pourfendeurs du système.
Hier courtisans du chef de l'Etat, aujourd'hui, ils se découvrent pourfendeurs du système.

Des ex-ministres et des partisans de premier plan de Boutef et de sa politique qui s’amusent aujourd’hui à jouer à l’opposition, on aurait tout vu !

Une spécificité bien à l’algérienne ou plutôt à force de dénaturer les choses, elles seront à la longue négligeables, telles est la nature du système politique algérien. Un système antinomique qui n’a engendré que des anormalités, voire de la débauche à tous les niveaux. Très rares sont les partis démocratiques crédibles qui activent indépendamment du pouvoir, le FLN, le RND, les islamistes jusqu’aux pseudo-opposants, tous sous-traitent et courtisent avec les tenants de ce système. Et ce sont des individus paradoxalement parmi ces derniers qui ont enflammé ces derniers jours la scène nationale à propos de la mise à l’écart du président Bouteflika et du projet de loi de finance 2016 qu’ils jugent antisocial et antinational.

Ils ont, longtemps, été partie prenante du régime de Bouteflika ; ils ont avalisé et cautionné sa politique libérale, autoritaire et ses errements politiques. Aujourd’hui, je ne sais quel h’mar les as rué, ils osent le disculper de toute implication alors que tout le monde sait que c’est l’un des principaux artisans à l’origine de la situation actuelle du pays.

Les couleuvres qu’on nous force à avaler sont de plus en plus grosses et surtout en ces temps de baisse des prix du pétrole et de la crise financière où tous les politiques qui ont servi en particulier le régime de Bouteflika cherchent à s’en tirer à bon compte.

S. Guenifi, cinéaste

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Commentaires (3) | Réagir ?

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sarah sadim

L'unité nationale semble au premier plan de l'actualité nationale, avouée, cachée ou dissimullée au plus haut nouveau institutionnel de la république: Fait paniquer plus les pouvoirs que le peuple.

Dérives tentaculaires du pouvoir actuel, tels de micro-seismes fissurant partout les rouages et les hommes de l'actuelle république.

Les doutes et suspicions n'ont jamais atteints un seuil pareil au sein des poles du pouvoir de Bouteflika, fragmentant chaque jour jour le peu qui reste d'un état régalien au sens juridique universel.

Cet état semble se faire succéder par des bandes réseaux enchevetrées de manière inextricables dans les fondements meme du pouvoir autocratique de Abdelaziz Bouteflika, et en connection ininterrompue avec des intérets dangereux quand à la souveraineté de ce pays.

Opposition et pouvoir, tous les deux factices et conjoncturelles ne s'affrontent à ce jour verbalement que pour la succession au sommet ou le repli d'arrières gardes menacées par les uns et les autres, parlons d'un clivage de répartition entre le pouvoir sectaire de Bouteflika et l'opposition fragmentée malgré les apparences des réunions factuelles de partis ou de personnalités politiques fortement compromises dans l'échec final de l'Algérie depuis 1962 à ce jour.

L'Algérie sera t elle la personnification illégitime des successeurs de la colonisation, qui n'ont fait que continuer la mise de cet état sous domination terminale du colonialisme par intermédiaires autchtones dont Bouteflika sera le dernier de la lignée qui a commencée avec Ben Bella-Houari Boumedienne et le relais de l'ex officier honoraire de l'armée Francaise Chadli Bendjedid jusquà l'euthanasie finale par Bouteflika.

Une opposition préfabriquée par différents présidents, d'autres par le DRS, d'ailleurs Saidani était un informel de saidani et mord aujourd'hui la main de son bienfaiteur, et bien d'autres dans la déconfiture finale.

Ne soyons pas dupes la destruction du DRS ne peut etre suivie que la destabilisation mortelle de l'Armée, les autres institutions républicaines de sécurité comme la Police seront pris dans le tourbillon infernal.

Pire l'intérieur et la diplomatie semblent apoplexiques, les finances un syndicat off-shore depuis l'avènement d'un ministre abruti par les allégeances qui n'engagent que sa propre personne.

La grave crise économique qui s'installera durablement en 2016 s'accompagne d'un pillage en règle des avoirs de la communauté nationale, le dernier et scandaleux épisode vécu à Chicago par notre ministre des industries Bouchouareb pris au dépourvu ou alors ignorant ce que ses maitres avait décidés:260 milliards de Dollars investis par L'algérie Bouteflika à l'état du Michigan ou le clan polonais et Obama sont les icones. Trés lourdement payé par l'algérie pour permettre au nainet son pouvoir de survivre au printemps Arabe... ?

Bouchouareb auguste imposteur ministre, pris au piège de ses maitres dément toutes les sources américaines sérieuses et inverse de manière schizophrénique que ce sont les USA qui investissent 160 milliards de dollars d'abord, ensuite c'est l'Algérie qui les investie, (l'algérie bouteflikiste) à partir de Chicago.

Al capone et toutes les maffias du monde réunis devraient venir chez Bouchouaereb et son collègue des finances pour prendre des cours particuliers.

La finale est là le plus grand scandale de Bouteflika pire que sonatrach et autoroute associée.

Vite détruit le DRS et appliqué sans aucune moralité la chasse à des généraux bien au fait de ce qu'enfouit les entrailles de Chicago, Bouteflika a t il cru qu'il aurait fermer le Chappe.

Louisa hanoune devra s'épuiser à attaquer Bouchouareb par pure diversion de notre tata louisa, tout le monde sait à Alger, mais les gorges profondes sont aux USA.

Anondine déclaration pour le citoyen lambda ce scandale de Chicago, mais en réalité sérieux avertissement US au système politique irrécupérable d'Alger.

Les Usa, la France, la Grande Bretagne et la Russie commencent elles leurs guerres en afrique du nord après la destruction de 'Irak et de la syrie.

Stratégiquement la Tunisie fragilisée, la Lybie "chaotisée" ne sont que les limites sanitaires d'endiguement du faux leadership algérien de ces cinquantes dernières années, heurtant frontalement l'expantionnisme impérialo-historique du Maroc.

Faites vos jeux les choix sont faits ailleurs depuis longtemps, le scène nationale actuelle est diversion et fuite en avant, quoi devant le chasseur l'Autruche enfouissant sa tete dans les sables"....

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klouzazna klouzazna

Pour certains leurs inquiétude et panique sont compréhensibles... les vents risquent de changer de cap !!!

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