Le chef de bureau de Reuters convoqué au ministère de la Communication

L'agence Reuters s'est fait taper sur les doigts par le département de la Communication
L'agence Reuters s'est fait taper sur les doigts par le département de la Communication

Le chef de bureau de Reuters à Alger, a été convoqué mercredi par le ministère de la Communication pour lui exprimer sa réprobation pour l'usage dans ses dépêches d'une terminologie "inappropriée" au sujet de l'opération d'élimination de terroristes à Bouira par des forces de l'ANP, a-t-on appris auprès du ministère.

En effet, une dépêche de l'agence de presse Reuters datée d'Alger fait état de l'élimination, de "22 militants". Le correspondant a également utilisé dans ses papiers le terme de "combattants islamistes".

Pour rappel, 25 terroristes ont été abattus par des forces de l'ANP à Bouira et un important lot d'armes et de munitions a été récupéré durant une opération qualitative de lutte antiterroriste qui a débuté mardi.

APS

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Commentaires (3) | Réagir ?

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ali chemlal

Il y a une réelle volonté de nuire a tous les pays qui résistent courageusement aux terroristes et a ceux qui veulent faire main basse, sur les ressources énergétiques nationales. Pour mettre en oeuvre cette stratégie destructrice et déstabilisatrice, chacun est dans son rôle, les Médias, s’occupent de la désinformation et les services de renseignements des grandes puissances, activent les réseaux mafieux et intégristes, auxquels ils fournissent des informations, du matériel militaire, de la logistique, que financent leurs suppôts, a savoir l'Arabie Saoudite et le Qatar, ensuite ils lancent dans la bataille. Les U S A veulent coûte que coûte faire tomber le régime syrien, et affaiblir le régime iranien. Obama le président américain, a la différence de G. W. Bush, fait la guerre, sans engagement de troupes au sol, sauf des instructeurs, chargés de former les terroristes. Le monde dit "arabe" qui n'existe que dans l'esprit des dictateurs est en phase disparaître, par son auto destruction, est c'est une bonne chose, pour les peuples qui aspirent a vivre en paix.

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sarah sadim

Convoqué par la diplomatie des cocus d'Alger, minnce alors il aurait du etre ramené à l'aéroport et expulsé, simple et que reuters aille se faire voir ailleurs.

Mais boutef madani merzag et peut etre meme une source algériee de faux débris du clan d'oujda aurait pu souffler cette terminolgie et puis meme s'il appartient au M6 britaique des renseignements extérieurs à Alger ce correspondant n'aurait pas fait pareille idiotie. L'ambassade saoudienne et marocaine à Alger s'activent en terrain vide en algérie, au fait Bouteflika n'est il pas le rejeton d'oujda.

Un chéque bien libellé à notre cher correspondant et le scandale arrive comme notre diplomate en mauritanie et le journnaliste mauritanien, Rabat rend ses coups non?

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