Tout marche sur la tête en Algérie. Alors qu'on avait autorité les tueurs de l'Armée islamique du salut (AIS) à organiser leur "université d'été", les patriotes, ces hommes qui avaient protégé l'Algérie des assassins que l'on sait sont réprimés et empêchés de s'exprimer.

Décidément à chaque jour son avanie. Son lot de trahison de ceux qui ont donné leur sang pour irrguer ce pays de sursauts de dignité. Mais alors que nous arrive-t-il donc pour en arriver là ? Jusqu'où ira-t-on dans le reniement de la parole donnée à ceux qui ont permis à l'Algérie de rester debout devant la barbarie intégriste ?

L. M.