Face à la cacophonie, où va l’Algérie ?

Face à la cacophonie, où va l’Algérie ?

Le pouvoir algérien vit en réalité encore à l’ère du parti unique puisque les partis dominants FLN-RND-MSP qui aux dernières élections ont eu à eux trois moins de 25% par rapport aux inscrits, trouvent leur origine dans l’éclatement de l’ancien parti unique, alors que le monde est devenu une maison en verre avec la révolution dans le domaine des télécommunications. Cette cacophonie porte un large préjudice à l’Algérie tant au niveau interne qu’international qui a fait dire à certains qu’il n’y a plus de pilote et il ne faut pas s’en réjouir.

1.- IL semble bien et cela est l’avis de presque l’unanimité des experts nationaux et internationaux et des institutions internationales qu’il y a manque de visibilité et de cohérence dans la politique actuelle du gouvernement. Le premier exemple est que la majorité des membres du gouvernement ont affirmé à la télévision officielle ENTV que l’Algérie n’était pas touchée par la crise, les mêmes responsables disant maintenant le contraire. Et aujourd’hui par la voix du premier Ministre que l’Algérie étant spécifique ne connaitra pas de sitôt de réformes politiques, l’Algérien étant uniquement un tube digestif, (que mépris ?) donc qu’elle connaît pas de crise politique mais une crise sociale comme si l’on pouvait dissocier crise politique, crise économique et crise sociale. Une véritable cacophonie montrant un blocage cultuel de nos dirigeants qui croient vivre en cercle fermé à l’ère du Parti unique. Le pouvoir algérien vit en réalité encore à l’ère du parti unique puisque les partis dominants FLN-RND-MSP qui aux dernières élections ont eu à eux trois moins de 25% par rapport aux inscrits, trouvent leur origine dans l’éclatement de l’ancien parti unique, alors que le monde est devenu une maison en verre avec la révolution dans le domaine des télécommunications. Cette cacophonie porte un large préjudice à l’Algérie tant au niveau interne qu’international qui a fait dire à certains qu’il n’y a plus de pilote et il ne faut pas s’en réjouir.

2.- L’explication fondamentale et donc les difficultés de régulation d’ensemble s’expliquent fondamentalement que depuis 1986, l’Algérie est dans cette interminable transition n’est ni dans une économie de marché véritable indissociable de la démocratie tenant compte de son anthropologie, ni dans une économie administrée. Cela explique les tâtonnements tant économiques, politiques, que sociales (en fait avec cette ébullition sociale où est l’UGTA centrale syndicale instrumentalisée et subventionné par l’argent du contribuable ?) D’où les effets pervers de certaines décisions élaborées par nos bureaucrates dans des bureaux climatisés loin des réalités locales et internationales, car l’économie administrée et l’économie de marché concurrentielle dans le cadre de l’interdépendance mondiale, ont chacune leurs propres règles de fonctionnement. Cela explique également que les dépenses les monétaires 2004/2009 de plus de 200 milliards de dollars ( non dues au génie humain mais aux hydrocarbures) avec comme rajout 130 milliards de dollars comme réévaluation sur le total programmé des 286 entre 2010/2014 n’ont pas été proportionnelles aux impacts économiques et sociaux reflété par ce slogan l’Algérie un Etat riche mais une population de plus en pauvre.

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Commentaires (4) | Réagir ?

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mouhouch Boussad

veuillez visioner la presente video by Youtube : adress:

http://www. youtube. com/watch?v=cUCRX6qPK04 et transmettre a vos amis est proche. Merci

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mouhouch Boussad

Notre pays est devenu un pays sans foi ni loi ; misere, suicide, harga et hogra, criminalité, kidnapping, l´injustice... etc, si ca continu comme ca, l´Algerie la 2eme Somalie. A mon avis chacun de nous doit dans sa commune respective dennoncer et lutter contre les corrompus et essayer d´ameliorer le niveau scolaire par ex en creant des association independentes d´aide au ecoliers.. sans le pourrissement de l´economie et de l´ecole le systeme n´existera pas.

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