L'Algérie perd la dernière bataille face à l’invasion des criquets de l’Ouest, ces malgaches venus d’ailleurs pour confisquer la liberté de notre peuple, récupérer les mérites de la révolution, falsifier le cours de son histoire et ce au nom d’une certaine raison d'Etat qui tire sa raison d'être dans un Etat en état de décomposition. Cette invasion barbare est le premier acte terroriste de l’histoire de l’Algérie post-indépendance, une suite biologique de la terre brulée menée par l’OAS pour terroriser le peuple et lui faire payer au sang du martyr son courage et son engagement à faire valoir son existence et ses droits à titre de nation.

Un détournement au nom de la famille révolutionnaire, une bourde qui marqua le parcours de cinquante d’année de pouvoir contre la volonté de notre peuple. Des élections préfabriquées, des nominations aux postes de gouvernance sur la base de copain/copine, des attributions et des dérogations pour les services rendus pour la secte au pouvoir, des glorifications et des honneurs pour des personnes ayant participé à la destruction des biens moraux et matériels de notre pays.

D’un terrorisme laïc au nom d'extrémisme à celui du fanatisme, le cadre d’entrainement, d'enrôlement, d’encadrement et de canalisation est le même. L’état terroriste doit son existence à l'idéologie de la terreur, de la répression et de l’extermination. Notre Algérie repose sur des pouvoirs parallèles qui gèrent la manipulation et les groupes terroristes pour protéger ses intérêts face au refus d’un peuple anéanti, trahi, violé et volé.

Notre Algérie demeure une république royaliste avec un président qui arrive à dominer un peuple, il se mesure au-dessus de ce dernier et de la nation. Un président qui refuse de parler à ses sujets par mépris et par arrogance, son absence pour raison de santé offre un festin aux parfums de la Sonatrach à ceux qui le maintiennent au pouvoir non par fidélité mais pour s’offrir des yachts, des résidences luxueuses de Dubai à Vancouver, des comptes gras aux couleurs de l’euro et du dollar.

Des entreprises Import/Import au nom des ayants droit de ceux qui maintiennent notre président au pouvoir travaillent avec la complicité des organes de l’Etat. De l’APN qui ferme ses yeux par complicité avec le fils du président à la tête d’une société d’import/import situé à Hydra aux enfants du cabinet noir avec des sociétés de catring et de recherche dans le Sud algérien. Des entreprises qui s'enrichissent par des opérations virtuelles d’explorations et de services, la Sonatrach paie pendant que notre président écoutent les éloges avec patience et amour de ceux qui volent les richesses nationales. Des cartels pour le sucre, l’acier, le café, la bière, le ciment, les produits pharmaceutiques, etc.

La richesse de ces ayants droit trouve sa fluidité par les recommandations de ceux qui travaillent dans le noir à titre d’associés, des interventions semi-officielles des forces supérieures pour libérer, délibérer, signer, établir les chèques, procéder à la libération des marchandises et effectuer les transbordements.

Des ayants droit à la source de la corruption et du blanchiment, maintiennent un terrorisme à hauteur de leurs intérêts et remplacent par la force et la richesse des enfants de ceux qui pieusement sont morts pour la patrie. Ces forces maffieuses poussent notre patrie à l’état végétatif, d’obscurantisme et de ghalabisme.

Notre Algérie perd sa dernière bataille et pousse ses enfants biologiques à suivre les pas de ceux qui sont partis pour laisser des strapontins libres et assujettis à la mission de leur serviteur. Une mission historique à la dimension de la géostratégique et politique.

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