Syrie : l'ONU accuse Damas et les insurgés de «crimes»
Les combats se sont poursuivis mercredi en Syrie.
À Alep, l'armée, appuyée par des hélicoptères et des avions, a bombardé plusieurs quartiers, dont Salaheddine, bastion rebelle dont le régime a dit avoir repris le contrôle. Dans la localité voisine d'Azaz, un bombardement aérien a fait plus de 20 morts, selon l'observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).
À Damas, la capitale, les rebelles ont revendiqué un attentat perpétré mercredi matin contre un bâtiment de l'état-major dans le centre de la ville. La bombe, placée dans un camion-citerne, visait une "réunion de militaires où sont décidées les opérations du jour à Damas" selon le commandant Maher Nouaïmi, chef du bureau de coordination du commandement de l'Armée syrienne libre (ASL) en Syrie.
L'opération était destinée "à remonter le moral de l'ASL et à dire à Bachar Al-Assad et à son commandement que nous pouvons mener des opérations bien étudiées car nous connaissons ce qui se passe dans leurs rangs", a ajouté l'officier. Peu après, toujours à Damas, une fusillade a éclaté à proximité des bureaux du premier ministre. Selon la télévision officielle, "les services spécialisés ont attaqué un repaire de terroristes mercenaires, tuant un nombre indéterminé d'entre eux et en capturant d'autres".
Sur le front diplomatico-militaire, les États-Unis ont encouragé les cadres syriens à faire défection à l'instar de l'ex-premier ministre, Riyad Hijab, réfugié en Jordanie. En récompense, son nom a été rayé de la liste des officiels passibles de sanctions. L'intéressé a jugé que le président Bachar el-Assad était «fini» et ne tenait plus "que 30% du pays".
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C'est l'hôpital qui se fout de la charité là, avant que L'ONU accuse quiconque elle doit se mettre en première position dans le box des accusés en tant que l'organisation criminelle qui a fomenté la plupart des catastrophes et guerre qu'a connu le monde depuis sa création. L'ONU n'est qu'un organe, de plus, pourri comme toutes les autres organisations mondiale à l'image de la banque mondiale, FMI, OMC... c'est les branches d'un même arbre qui a été semé à la base pour tisser ses tentacules à l'échelle mondiale et faire de ce monde la propriété privée de certains puissant de ce monde.
Ces derniers temps des grands reporters aux noms biscornus tels que :Avec Reuter, Yacine AFP etc nous apprenaient, sans dévisser leurs honorables fondements de leurs tabourets, que l"escogriffe de Damas" méritait mille morts lui qui faisait donner le canon à des paisibles citoyens en quête de liberté.. Les vérités ayant la peau dure, les grands médias qui façonnent la conscience universelle sont obligés d'admettre qu'on assassine, étripe, décapite, éviscère sans modération du coté des preux combattants de la liberté. France télévision n’éprouvera aucune gène par ailleurs à qualifier les crimes de guerre de de L'ASL de moins "importants".... En tous cas personne de nos reporters, aux noms si singuliers n'a signé cette nouvelle. Seraient-ils déçus?