Ouyahia encense-t-il un Bouteflika partant ?

Le Premier ministre, M. Ahmed Ouyahia, représentant du président de la République au sommet de l’Union africaine (15-16 juillet), a encensé Bouteflika sur le ton des adieux et de la dithyrambe.
Ahmed Ouyahia, Premier ministre, représentant du chef de l’Etat au Forum des Chefs d’Etat et de Gouvernement du Mécanisme Africain d’Examen par les Pairs (MAEP), a tenu comme un discours d’adieu à Bouteflika tant les propos dithyrambiques sont ceux qu’on emploie généralement à l’adresse d’un chef sur le départ à la retraite, au double sens du terme.
Un discours hommage en quelque sorte. Le panégyrique qu’il dresse de Bouteflika a même quelque relent mortifère tant il retrace une chronologie de son règne "Après avoir restauré la paix, parachevé la réconciliation nationale et relancé le processus de développement économique et social depuis une décennie déjà, l’Algérie s’est à présent attelé, sous la conduite du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, à conforter la démocratie et le pluralisme" Les propos, pour être si clinquants d’éloges, ne peuvent se soustraire à cette probabilité d’un discours adieu dont s’est chargé son premier ministre et chef du RND.
Le Premier ministre n’a pas manqué de souligner que l’état d’urgence a été levé en 2011, facilitant ainsi la lutte contre le terrorisme, la "large consultation" (pour ses réformes) la même année, organisée au plus haut niveau avec les personnalités, partis et organisations en Algérie.
Ahmed Ouyahia comme dans une élégie à la gloire d’un Président auréolé a salué "les projets de lois enrichis et adoptés par le Parlement" expliquant que ses réformes "renforcent le rôle des partis politiques, des associations et des médias tout en encouragent leur structuration et leur fonctionnement en conformité avec les valeurs du pluralisme démocratique" et que "ces lois offrent des garanties accrues pour l’organisation d’élections libres, transparentes et équitables".
Lors de cette homélie, le Premier ministre a souligné que l’Assemblée issue de ces élections se caractérise par une "évolution qualitative indéniable".
Enfin, M. Ouyahia n’a pas manqué d’anticiper sur ce qui s’apparente à une ère post-Bouteflika : la révision prochaine de la Constitution, proposée par le président de la République, et qui vient ainsi compléter les réformes politiques.
La liste des "œuvres" de Bouteflika dressée dans le discours d’Ahmed Ouyahia par l’APN est si longue qu’on aurait dit que l’orateur a tenu à n’en oublier aucune.
RN avec APS
Commentaires (2) | Réagir ?
J'ai la nette impression que les Algériens sont devenus de simples spectateurs à la dérive de leur pays qui pourtant, avait tout pour réussir : ressource naturelles, humaines, manquait juste l'honnêteté des gouvernants. Enfin l'essentiel à ce que je vois, depuis cinquante ans maintenant ! Et on arrête pas de duper les spectateurs, vont-ils enfin sortir de leur expectative ? Oui, certainement. Quand ?
Voici la véritable histoire de l'Algérie depuis 1954. Le clan Formé autour de boussou allait prendre les armes et chasser la France d'Algérie, mais les six boudiaf didouchekrim zighout etc.. les ont pris de vitesse. Alors le clan est allé se planquer au maroc et repreparer la guerre d'indépendance de l'Algérie et au même temps d'autres ont rejoint le clan qui est devenu très puissant. Un fois le clan pret il s'est retrouvé face a un dilemme comment combattre la France occupée dans une guerre contre le FLN/ALN Alors ils ont décidé d'éliminé le FLN et l'ALN d'abord pour s'occuper ensuite de la France. Et ils sont allés très fort, en éliminant ou en neutralisant, les ténors du FLN et de l'ALN soit par exécution directe ou en dénonçant les autres aux forces françaises. Mais au fil des années le FLN et l'ALn sont toujours là a combattre le France a la place du clan. le clan essaye de saboter les négociations du FLN avec la France puisque le FLN a spolié le Clan en l'empêchant de combattre la France. le Clan voulu que l'Algérie lui revienne de droit puisque lui il voulait libérer l'Algérie et que c'est le Fln/aln qui les a pris de vitesse. en 1962 le clan prend l'Algérie qui lui revient de droit et comme ses membres n'ont jamais eu le temps de combattre la France a cause du FLN/aln, ils ont inventés des histoires invraisemblables qui aurait pu être vrais si ce n'est le FLN/ALN et ils sont tous devenus de grands combattants et moujahids. Oui le clan a voulu libérer l'Algérie et le FLn/Aln l'en a empêché. Donc l'Algérie est a eux en 1962. Benb rêve de faire de l'Algérie un paradis Tous égaux tous pauvres et il enferme les algériens dans une immense prison et cette fois le peuple ne comprend pas bien la chose et se demande ou il va? alors boutef intervient et empêche benb de finir son projet et le met dans une petite prison, Arrive boumed avec un autre projet tous égaux pas de pauvres pas de riches tous des assistés avec boumed beaucoup de choses vont disparaitre l'histoire la culture les terres agricoles etc..., encore une malédiction, le projet de boumed n'arrive pas a terme, il tombe malade et il ne trouve aucune assistance médicale sérieuse et il disparut. A ce moment boutef se demande s'il n'est pas temps qu'il prenne les commandes, non il ne peut pas il y a encore des gens plus grands que lui et tout petit qu'il est se retire au profit de chadli qui avait beaucoup de copains en uniforme verte, alors que boutef avait des dollars mais pas d'amis. Chadli trouve beaucoup de dollars de francs de Deutschemarks et même de francs suisses récupérés au prés de qui de droit, Chadli trouve aussi qu'il y a beaucoup d'immobilier de terres agricoles d'usines. et Chadli décide de partager avec les algériens au peuple il offre une allocation touristique de 100 dollars pour que le peuple puisse aller ailleurs pendant que le reste est partagé entre copains et copines. De retour de voyage en 1986 le peuple ne trouve plus rien. Pendant deux y a plus rien alors une bonne idée lui vient il s'en remet a dieu et décide de faire des algériens de vrais musulmans. Pour le partage de la misère il fait appel a son FIS. boutef essaye de replacer mais il y a toujours les hommes verts et lui il a peur de la misère, Chadli décide d'un dernier partage il garde sa vie, laisse le pouvoir aux autres et la misère au peuple. Arrive Boudiaf qui dit la vérité et reçoit une raffale. Zeroual accourt et il découvre le malheur y a plus rien même pas les dollars du pétrole. il fait tout pour redonner espoir aux algériens mais les traitres sont toujours là, les traitres ayant du flair sentent le retour du petrole et des dollars alors la grande arnaque commence et Zeroual laisse tout derrière lui et rentre chez lui, dégouté. Quand on n’a pas vraiment de solutions sérieuses on bricole alors arrive boutef qui est assuré par ses amis du golf que le pétrole va flamber et que lui une a el mourradia il pourra flamber tous les dollars qu’il veut et même les nouveaux euros. Quand il n’y aura plus d'euros et de dollars a flambé c'est le peuple qui le sera.