Jeudi 5 juillet à 18 h 30 : Rencontre avec Mohamed Benchicou pour fêter l'indépendance et la sortie du roman «La parfumeuse»

C'est avec plaisir que Mohamed Benchicou et les éditions Riveneuve vous rencontreront autour d'un pot le jeudi 5 juillet 2012 à partir de 18:30 à l'occasion du 50e anniversaire de l'indépendance algérienne et de la sortie du nouveau roman «La parfumeuse», consacrée à la vie occultée d'Émilie Busquant, plus connue sous le nom de Mme Messali.
Rien n'est choisi au hasard, ni la date, ni le lieu. Le 5 juillet est aussi une façon de rendre hommage à cette femme dont l'auteur dit qu'elle fut la première architecte méconnue du mouvement national algérien qui mènera à l'indépendance.
Quant au lieu, c'est un endroit symbolique : le restaurant "Obododo" fait angle avec la rue du Repos, où se rencontrèrent pour la première fois, Émilie Busquant et Messali Hadj, et où a été conçu et confectionné pour la première fois, le drapeau algérien, des mains d'Émilie.
À cette occasion, l'auteur dédicacera le livre. Un débat aura lieu.
Venez nombreux !
Obododo
28 boulevard Ménilmontant Paris 20ème
(A proximité du cimetière Père Lachaise)Téléphone : 01 43 48 77 36
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MERCI
Doit on aussi à la vérité de dire que tout sur le drapeau algérien n'est que références et gloire à l'araboislamisme. La couleur verte (islam) l'étoile et le croissant (arabisme teinté de formatage ottoman)
Et l'algérie algerienne des peuples AMAZIGHS AMAZIGHOPHONES ET ARABOPHONES dans tout çà?
Il est vrai que cette dame, comme tous les français, croyait que les algériens sont "des arabes". Ce n'est certainement pas son mari, messali, un panarabiste virulent, qui lui aurait corrigé cette falsification ethnique dont sont victimes les peuples d'algérie, à majorité amazighe, et arabophone pour le reste.
Disons alors cette vérité que l'algérie ne sera algérienne que le jour où ses peuples amazighs auront droit de cité identitairement et ne subiront plus le déni identitaire qui leur impose de se renier au profit de l'islamopanarabisme colonial. Sinon il arrivera ce que l'histoire nous a appris, pour ceux qui ne sont pas de "mauvais éléves" (dixit le general giap), qu'un joug tôt ou tard sera brisé.
La femme de messali a voulu combattre, à sa maniére, la colonisation apartheid française, véritable ségrégation raciale qui faisait que des ramassis de malto-italo-espano-apatrides en plus de misérables français, appelés pompeusement europeens d'algérie, ont été conditionnés et élévés dans l'idée que les algériens (faussement et colonialement appelés arabes, et qui ne le sont pas du tout...) étaient des êtres inferieurs, des indigénes, qui justifiait le faite de leur chipper leur pays, leurs terres, leur histoire, les obligeant à n'être que des serviteurs, des"arabes"! et des serfs pour le collége, le premier, des seigneurs formés de ce ramassis d'apartheid devenus "race supérieur" grâce au joug de la colonisation apartheid française que les algériens subissaient.
Cette dame, l'épouse de messali le panarabiste, combattait une colonisation mais ne savait pas, certainement, que son combat, par ignorance, allait servir une autre colonisation, l'islamopanarabisme., plus insidieuse et plus destructrice de point de vue civilisationnel et humain.
50 années d'araboislamisme ont presque anénanti l'algérie algérienne, la "parfumeuse n'aurait jamais pensé que son combat aurait servi à faire de l'algérie un pays exsangue, déliquescent tout azimut. !