Une ancienne journaliste du "Matin" nominée pour le Prix méditerranéen de la presse

Une ancienne journaliste du "Matin" nominée pour le Prix méditerranéen de la presse

Une ancienne journaliste formée au quotidien Le Matin, suspendu arbitrairement par les autorités algériennes depuis 2004, a été nominée pour le Prix méditerranéen du journalisme 2011 de la Fondation Anna Lindh (FAL). Mekioussa Chekir, aujourd'hui journaliste au quotidien La Tribune, a été retenue dans la liste des lauréats pour son reportage portant sur la tolérance religieuse, le dialogue interconfessionnel en Algérie et les moines trappistes de Tibhrine, a indiqué samedi son journal. L'écrit en question. Le repoartage intitulé La tolérance à l’épreuve de l’unanimisme religieux, publié le 28 juin dernier dans La Tribune, et consacré au monastère et au drame des moines trappistes de Tibhirine, assassinés par des terroristes en 1996, a retenu l’attention du jury, présidé cette année par le philosophe français Edgar Morin et composé, entre autres, d’Adam Michnik, médiateur des libertés de l’Union européenne.

Le prix sera décerné le 6 octobre prochain à Monaco lors d'une cérémonie internationale parrainée par le Prince Albert II de Monaco.

Plus d'articles de : Actualité

Commentaires (1) | Réagir ?

avatar
oziris dzeus

Madame Oukazi, vous êtes journaliste vous aussi et très connue, animatrice d'une émission de la télé d'état qui voulait faire croire que l'état algérien est un de droit et de démocratie. Donc vous receviez chaque semaine un (leader politique) à qui vous posiez des questions sur tout et rien. A chaque fois Vous étiez très décontractée et habillée en femme moderne, mais pour recevoir Nahnah vous aviez été obligée de vous couvrir de haut en bas pour que le cheikh ne puisse voir votre peau. Mme Oukazi ce jour là, vous auriez dû démissionner ou refuser d’animer ou de vous mettre en face de ce personnage. Mais vous avez capitulé et accepté de vous cacher (de cacher votre corps). Mme Oukazi ce jour là vous avez fait gagner du terrain aux nahnahistes, ils ont imposé leur hypocrisie en direct. Mme Oukazi, votre réaction suite à l’utilisation du kabyle par Ouyahia est vraiment déplacée. Après le foulard et la veste imposée par le défunt Nahnah, voici venu le temps de la langue arabe imposée par Belkhadem et Aboujerra. Ouyahia aurait dû vous dire simplement que s’il parle kabyle c’est parce que il est Kabyle et qu’il avait le droit de parler sa langue. La constitution n’est pas un alibi pour parler sa propre langue. Le truc le plus drôle c’est que c’est en français que vous expliquiez à Ouyahia que l’arabe est la langue officielle selon la Constitution.