Assassinat de Tounsi : Les faits selon Radio Kalima
Contrairement à la version du ministère de l’intérieure qui parle d’acte de démence, nos informations indiquent clairement qu’il s’agit d’un acte réfléchi et froidement exécuté. Selon nos informations recueillies à Alger, le directeur général de la sureté nationale, M Ali Tounsi, a été assassiné dans son bureau jeudi 25 février à 10h du matin. Ce jour là, il a rendez vous avec M. Oultache Chouaib, directeur de l’unité aérienne de la sureté nationale, (la flotte d’hélicoptères de la police) basée à Dar El Beida. Depuis quelques temps, les relations entre les deux hommes se sont détériorées. A la suite d’un différent entre les deux hommes, M. Ali Tounsi, patron de la police depuis près de quinze ans, a fait comprendre à M. Oultache Chouaib qu’il ne comptait plus sur son travail et qu’il envisageait de le mettre à la retraite, tout comme d’autres cadres de la DGSN. Cette décision n’était visiblement pas du gout de l’ancien militaire. Ce colonel à la retraire, âgé de 64 ans, pilote d’aviation, est parfaitement sain d’esprit et il n’est pas du genre à se laisser faire. Lors de ce rendez vous, il entendait bien le faire comprendre à son patron. M. Oultache arrive à 10h précise et les deux hommes s’enferment dans le bureau de Tounsi. Les deux hommes s’enferment dans l’immense bureau du patron de la police. Une fois à l’intérieur, le colonel sort son arme et tire froidement cinq balles sur Ali Tounsi qui décède dans son bureau. Son premier forfait accompli, l’homme sort. Il demande à la secrétaire de Tounsi, qui n’a rien vu ou entendu ( Le bureau du DGSN est insonorisé) d’appeler d’autres responsables de la DGSN. Le chef de la sécurité d’Alger arrive parmi les premiers sur les lieux. Il voit l’assassin avec une arme à la main. Eclate alors une fusillade qui fait plusieurs blessés dont M. Oultache. L’assasssin, touché, est évacué vers Ain Naadja avec les treize autres personnes blessées dans la fusillade dont le directeur de cabinet de Ali Tounsi et le chef de la sureté d’Alger.
Pourquoi le ministère de l’intérieure veut il faire croire à un acte de démence, alors que les conflits entre des cadres de la DGSN et le ministère de l’intérieure sont un secret de polichinelle. A plusieurs reprises, en 2008 et en 2009, des décisions de Ali Tounsi, de nominations de hauts cadres dans l’institution qu’il dirige, n’ont pas été validé par son ministre de tutelle, Yazid Zerhouni. Les désaccords entre les deux hommes sur les nominations des cadres à des postes sensibles sont sorties du cercle restreint et se sont retrouvées dans la presse.
Quel mobile a t-il donc poussé un homme de 64 ans, expérimenté, à commettre l’irréparable? Il faudra trouver autre chose que la version de la démence pour expliquer un geste pareil dans un contexte politique perturbé. Il faudra probablement attendre l’enquête pour comprendre les véritables motifs d’un tel acte, à condition, bien sur, qu’on ne cherche pas à se cacher derrière la folie pour éviter de chercher dans la raison.
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Il n'y auar pas d'enquete, lorsqu'il s'agit d'affaires classées affaires d'Etat et quel état, voir l'assassinat de BOUDIAF de HACHANI de Kasdi merbah de Lounes MATOUB et bien d'autres. Saliha BELKAID inspectrice et promise officier de police et qui exerce au sein de la police algérienne n'a pas hésité à infiltrer son époux qui enquetait sur une affaire de véhicule piègés qui ontdesmilliers de victimes à ALGER, et ce en parrainnage avec l'ex commissaire de surete de wilaya de Annaba, qui avait livré Lembraek BOUMARAFI auservice deal DRS, et de son silence avait été recompensé au grade de commissaire divisionnaire et chef de la surete de wilaya d'ALGER. Les assassinats de cadres de la police algérienne est devenu fait divers. Touche pas à mon secteur ou tu es un homme mort, c'est la devise que travaille avec les assoiffés de pouvoir en Algérie.
L'assassinat de l'x patron de la police algérienne, est pour nous un acte naturel par le fait, Ali TOUNSI n'a pas voulu laisser sa place à d'autres succèsseurs, la nouvelle n'est pas choquante, car des généraux en fonctions ont été assassinés en plein Bir-mourad-rais, un BOUDIAF Mohamed prsident et bien d'autres meilleurs, mais le prfoblème, se résoud, aux tireurs de ficelles, dont j'en connais quelques uns d'eux à Hydra. L'exemple des cadres de la police algérienne qui ont par leur courage freiné l'avance de l'intégrisme, n'a pas plu aux décideurs, c'est ainsi y a qui ont été assassiné tel que le cas du commissaire divisionnaire MAHMOUDI Mohamed promu pour le poste de chef sureté de wilaya d'ALGER a été détourné pour occuper provisoirement commissariat centrale de BLIDA, ensuite assassiné quelques jours plutard et ALI TOUNSI était présent à l'enterrement avec ses boys commissaires divionnaires de l'époque BOUFENAYA Ahcène chef commissariat dALGER et CHEBILI Mokhtar Directeur de l'école Soumaa de BLIDA, les deux ont été par la suitye félécité par le'ex DGSN pour la mission accomplie. Ali TOUNSI avait besopin des cadres qui été proislamiste, il a trouvé en CHEBILI Mokhtar originaire de Bou-saada, pare, té avec l'épouse de ABASSI Madani et BOUFENAYA Ahcène originaire de Jijel, a pu facilemet prendre attache avec MADANI Mezreg l'ex chef de l'A. I. S, pour faire réussite la reconciliation nationale décidée non par BOUTEFLIKA Abdelaziz, mais part ceux qui ont soit disant infiltré ces groupes d'assassins.