Samia Ghali et la succession de Bouteflika : elle a oublié ses propos sur Beur FM
" A aucun moment il n’a été question de l’éventuelle succession du président Bouteflika, notamment en vue des prochaines élections présidentielles du 9 avril ", avait écrit la sénatrice socialiste française Samia Ghali, dans une mise au point publiée mercredi par le quotidien El Watan, ajoutant : " la décision du président Bouteflika de se présenter ou non aux prochaines élections n’appartient qu’à lui et n’a jamais été à aucun moment de près ou de loin l’objet de la discussion avec la délégation invitée dont je faisais partie. "
Elle s'était même offusquée : ".Je déplore le procédé de la confusion des genres".
Pourtant, mardi matin, Samia Ghali avait tenu les mêmes propos que ceux rapportés par El Watan sur la radio Beur FM, basée à Paris.
TSA (http://www.tsa-algerie.com/) a retrouvé l'interview accordée Mme Ghali à Philippe Robichon sur la radio française. Pour écouter, cliquez ici.
Commentaires (9) | Réagir ?
En écoutant cet extrait radio, j'étais mort de rire !
La pauvre "élue française passerelle avec son bled d'origine" a oublié que les enregistrements étaient plus crédibles que des démentis de "sauve qui peut"...
Excellente anecdote qui montre le niveau d'intégrité de ces gens. Vive la Françalgérie ;)
Encore une eniéme fois, Messieurs du CCDR et des partis démocratiques où êtes vous? Ne nous faites pas honte. Vous nous aviez donné espoir d'un sursaut salvateur qui nous sortirait d'une vie d'esclaves que nous fait mener un certain malade d'1, 52 métre. C'est vrai que l'argent rend aveugle mais quand même pas au point d'écraser sa dignité d'Homme!
Vous, nos gradés de l'armée algérienne où êtes vous? Et votre serment pour défendre notre pays qu'en faites-vous? Accepter vous d'êtes menés à l'abreuvoir par un marocain?
Boutef n'a pas d'enfants, il se fout pas mal des enfants algériens et encore moins de leur avenir. Son seul enfant pour lequel il se bat c'est le prix Nobel. Il a réussi à ridiculiser un peuple, à faire tuer des jeunes soldats, à favoriser la corruption, à faire fuir les assassins et les voleurs de l'Algérie.
Donnons lui le prix Nobel d'être le seul candidat sans électeurs, car à défaut d'une énergique intervention des ALGERIENS, nous risquons de devenir des "ânes je n'ai rien".