Respectez Yasmina Khadra !

 Respectez  Yasmina Khadra  !

Pourquoi cette levée de boucliers ? Pourquoi tout cet acharnement contre la personne de Mr.Mohammed MOULESSEHOUL ? En quoi cela dérangerait-il s'il ne veut pas apparaitre sur les colonnes du "Matin" ? Il est libre que je sache,et vous les internautes qui l'accablez à tort,sachez aussi que votre liberté s'arrête là où commence celle d'autrui. Respectons donc sa liberté et de grâce épargnez-nous vos mesquineries. C'est mal connaitre l'intellectuel avant le militaire qu'était Mohammed MOULESSEHOUL.

Sachez qu'il à écrit à un âge précoce et en ce temps là il faisait déjà des envieux très connus sur les places littéraires.

Sachez encore qu'il a été censuré par l'armée pendant de longues années et permettez-moi de vous dire qu'il signait ses oeuvres sous son véritable nom.

Mr Mohammed MOULESSEHOUL n'a jamais été l'homme de qui que ce soit et il ne le sera jamais et ce n'est pas aujourd'hui qu'il va apprendre à faire des courbettes commes vous le faites si bien vous les malintentionnés(es).

Mr Mohammed MOULESSHOUL ne s'est jamais prété au jeu de la flatterie pour un quelconque dividende ou courru derrière les postes et les privilèges commes le sous-entendent certaines langues malveillantes.Mr Mohammed MOULESSEHOUL n'est pas du genre à tendre la main pour quêter mais au contraire a gagné sa vie dignement à la sueur de son front et c'est lui qui donne. A la lecture de certaines réactions,le vois la totale méconnaissance de l'écrivain et quand on ne connait pas la personne on s'abstient alors de le critiquer et d'écrire des insanités pour faire rire la galerie.Soyons sérieux !

Mr Mohammed MOULESSEHOUL n'est pas infatué de sa personnalité encore moins arrogant comme il est prétendu.
Je vous le dis en toute simplicité que c'est un homme de ce qu'il y a de plus humble.

Par ailleurs,ce n'est pas son apanage de fuir devant ses responsabilités,encore moins la critique.Intéllectuel, présent aux débats,il a toujours su tirer son épingle du jeu et Dieu sait combien étaient nombreux les pièges qu'on lui tendait.Mr Mohammed MOULESSEHOUL n'a pas de phobie devant la confrontation sensée et responsable.
Cette cabale perfide qui sévit depuis belle lurette contre notre grand et talentueux écrivain,dirrigée par des cancrelats dont le standing ne saurai dépasser la fange,doit cesser car qu'on le veuille ou pas et pour le moment,Mr Mohammed MOULESSEHOUL est le digne porte drapeau de l'Algérie et ce n'est pas les 32 langues traduisant ses oeuvres et Hollywood qui vont me contredire et encore moins les honneurs et les distinctions reçus des grandes personnalités de ce monde.

Cest une réalité Messieurs-Dames et il faut l'accepter.
Cordialement votre...!

Mohammed, je te remercie du fond du coeur pour tout ce que tu fais et comme je te connais, trop bien même, je sais que tu ne baissera jamais les bras pour la bonne cause.

Abdelhamid FODIL.

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Commentaires (53) | Réagir ?

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Bencherif

Ain- Sefra le 8 avril 2009

Lettre ouverte à Yasmina Khadra

Par Ahmed Bencherif –Algérie-

Allons ! Allons Yasmina Khadra dont on dit, vrai ou faux, écrivain majeur. Si vous pensez être monté au panthéon des Lettres, moi, je vous dirai que l’escabeau, qui vous porte, finira par craquer, quand la lumière finira par faire jour, quand l’effet d’hypnose cessera de vivre, quand vous serez vous-même et rien que vous-même.

Dans notre culture, qui est aussi la vôtre et que votre ascension fulgurante vous fait oublier, on dit : « L’oiseau loue ses nuitées ». Vous en reconnaîtrez aisément la portée, ce qui sera aussi explicite pour les avertis qui suivent avec coi votre parcours littéraire et vos déclarations tendancieuses à éclat.

Double fonctions ! Parlons-en ! Votre qualité d’écrivain vous édictait de répondre, en premier lieu par courtoisie et en second lieu par conscience, à un confrère en début de carrière, afin de l’orienter, lui prodiguer conseils et lui apporter le concours dans la mesure du possible. Votre statut de directeur du centre culturel algérien à Paris vous intimait l’obligation de répondre par oui ou par non aux doléances d’un écrivain algérien, afin de lui ouvrir les portes comme vous le faites pour d’autres artistes et hommes de lettres, pour présenter ses ouvrages au sein de la structure culturelle, qui je vous le rappelle est propriété de l’Etat algérien et donc du peuple.

Oui ! C’est sidérant : vous ne prenez pas la peine de répondre à une vingtaine de courriels adressés au centre culturel algérien et à cinq ou six adressés à vous-même. Et pourquoi ? Vous ne l’avez pas dit. Donc, j’en tire la conclusion. Et ce n’est pas certainement un manque de courtoisie de votre part. Hélas et c’est plus grave. Mes ouvrages, Marguerite tome 1 et la grande ode, furent primés d’une appréciable critique de la part du comité de lecture de mon éditeur, Publibook à Paris, confirmée par les nombreux commentaires de lecteurs moyens et de haut niveau, qui enrichissent mon blog. Dois-je vous le rappeler ? Je vous avais informé que j’étais invité par mon éditeur au salon international du livre de Paris et je vous avais proposé de faire une présentation de mes ouvrages entre le 21 et 23 mars 2009. Malheureusement une force majeure m’empêcha de répondre à l’honorable invitation de mon éditeur, ce qui évita à coup sûr des désagréments avec votre autorité. Car votre attitude n’en dit pas moins à mon égard.

Enfin je soumets, sans prétention aucune de ma part et en toute humilité, à l’appréciation de mes lecteurs la critique consacrée par le comité de lecture à mes deux ouvrages :

Marguerite

Tome premier

Notre avis : Marguerite n’est qu’une petite ville. Pourtant, à elle seule, elle incarne l’Algérie colonisée. Elle est un microcosme derrière lequel se devine le portrait de tout un pays soumis à la domination. Mais Marguerite, c’est aussi une cité qui s’est soulevée et insurgée, dévoilant l’image d’un peuple qui n’a pas accepté la colonisation. Avec ce roman éponyme, fresque historique et sociale grandiose et minutieuse, Ahmed Benchérif fait le portrait d’une Algérie qui, à peine soumise, est déjà prête à défendre son indépendance et à repousser tous les jougs. Ainsi, ce premier tome est un préambule, une plongée dans l’aberration du système colonial, un moyen de saisir sur le vif, à travers une galerie de personnages réalistes, les sentiments et vexations de toute une communauté asservie. Il est une matrice, le lieu de naissance et de croissance des rêves les plus périlleux, le premier acte d’un combat pour l’indépendance qui s’incarne dans la figure de Hamza, adolescent idéaliste et désireux d’infléchir une histoire trop douloureuse

La Grande ode

Notre avis : Dante avait sa Béatrice. Aragon son Elsa. Ahmed Bencherif a Jocelyne. Figure inspiratrice qui hante chacun des vers de cette ode, elle est à jamais élevée dans cet écrin que constitue l’écriture en alexandrins. Qu’elle soit adorée sur un mode courtois ou qu’elle soit à la source des douleurs, qu’elle suscite les regrets ou les élans lyriques du poète, elle est pour toujours indissociable de cette élégie consacrée aux amants condamnés

Toute ma considération

Ahmed Bencherif, écrivain et poète

Site de l’auteur : www. bencherif. unblog. fr

Ain- Sefra le 8 avril 2009

Lettre ouverte à Yasmina Khadra

Par Ahmed Bencherif –Algérie-

Allons ! Allons Yasmina Khadra dont on dit, vrai ou faux, écrivain majeur. Si vous pensez être monté au panthéon des Lettres, moi, je vous dirai que l’escabeau, qui vous porte, finira par craquer, quand la lumière finira par faire jour, quand l’effet d’hypnose cessera de vivre, quand vous serez vous-même et rien que vous-même.

Dans notre culture, qui est aussi la vôtre et que votre ascension fulgurante vous fait oublier, on dit : « L’oiseau loue ses nuitées ». Vous en reconnaîtrez aisément la portée, ce qui sera aussi explicite pour les avertis qui suivent avec coi votre parcours littéraire et vos déclarations tendancieuses à éclat.

Double fonctions ! Parlons-en ! Votre qualité d’écrivain vous édictait de répondre, en premier lieu par courtoisie et en second lieu par conscience, à un confrère en début de carrière, afin de l’orienter, lui prodiguer conseils et lui apporter le concours dans la mesure du possible. Votre statut de directeur du centre culturel algérien à Paris vous intimait l’obligation de répondre par oui ou par non aux doléances d’un écrivain algérien, afin de lui ouvrir les portes comme vous le faites pour d’autres artistes et hommes de lettres, pour présenter ses ouvrages au sein de la structure culturelle, qui je vous le rappelle est propriété de l’Etat algérien et donc du peuple.

Oui ! C’est sidérant : vous ne prenez pas la peine de répondre à une vingtaine de courriels adressés au centre culturel algérien et à cinq ou six adressés à vous-même. Et pourquoi ? Vous ne l’avez pas dit. Donc, j’en tire la conclusion. Et ce n’est pas certainement un manque de courtoisie de votre part. Hélas et c’est plus grave. Mes ouvrages, Marguerite tome 1 et la grande ode, furent primés d’une appréciable critique de la part du comité de lecture de mon éditeur, Publibook à Paris, confirmée par les nombreux commentaires de lecteurs moyens et de haut niveau, qui enrichissent mon blog. Dois-je vous le rappeler ? Je vous avais informé que j’étais invité par mon éditeur au salon international du livre de Paris et je vous avais proposé de faire une présentation de mes ouvrages entre le 21 et 23 mars 2009. Malheureusement une force majeure m’empêcha de répondre à l’honorable invitation de mon éditeur, ce qui évita à coup sûr des désagréments avec votre autorité. Car votre attitude n’en dit pas moins à mon égard.

Enfin je soumets, sans prétention aucune de ma part et en toute humilité, à l’appréciation de mes lecteurs la critique consacrée par le comité de lecture à mes deux ouvrages :

Marguerite

Tome premier

Notre avis : Marguerite n’est qu’une petite ville. Pourtant, à elle seule, elle incarne l’Algérie colonisée. Elle est un microcosme derrière lequel se devine le portrait de tout un pays soumis à la domination. Mais Marguerite, c’est aussi une cité qui s’est soulevée et insurgée, dévoilant l’image d’un peuple qui n’a pas accepté la colonisation. Avec ce roman éponyme, fresque historique et sociale grandiose et minutieuse, Ahmed Benchérif fait le portrait d’une Algérie qui, à peine soumise, est déjà prête à défendre son indépendance et à repousser tous les jougs. Ainsi, ce premier tome est un préambule, une plongée dans l’aberration du système colonial, un moyen de saisir sur le vif, à travers une galerie de personnages réalistes, les sentiments et vexations de toute une communauté asservie. Il est une matrice, le lieu de naissance et de croissance des rêves les plus périlleux, le premier acte d’un combat pour l’indépendance qui s’incarne dans la figure de Hamza, adolescent idéaliste et désireux d’infléchir une histoire trop douloureuse

La Grande ode

Notre avis : Dante avait sa Béatrice. Aragon son Elsa. Ahmed Bencherif a Jocelyne. Figure inspiratrice qui hante chacun des vers de cette ode, elle est à jamais élevée dans cet écrin que constitue l’écriture en alexandrins. Qu’elle soit adorée sur un mode courtois ou qu’elle soit à la source des douleurs, qu’elle suscite les regrets ou les élans lyriques du poète, elle est pour toujours indissociable de cette élégie consacrée aux amants condamnés

Toute ma considération

Ahmed Bencherif, écrivain et poète

Site de l’auteur : www. bencherif. unblog. fr

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ben,cherif

Certains dépassent le cadre normat et légitime de l'admiration pour plonger dans l'idolâtrie à un artiste, écrivain, politique. L'espace du net est libre, le respet, exigé.

Je renvoie les uns et les autres la lettre ouverte à Yasmina Khadra, faite par Ahmed Bencherif, auteur de Marguerite tome 1 sur notre chère Algérie, sous la botte coloniale fin 19ème siècle.

Ahmed Bencherif

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