Voyez-vous, Monsieur Tarik, en participant à cette discussion, je ne souhaitais nullement que le débat ne devienne bilatéral, mais comme votre intervention se veut celle d’un partisan acharné d’une oûhda thalitha et que vous profitez, maladroitement, de cette tribune pour entamer, avant terme, votre campagne électorale, il m’a semblé nécessaire de formuler les remarques suivantes.

Vous auriez voulu, dites-vous, que mon analyse soit macroscopique (on dit macro-économique), j’avoue humblement que je n’ai pas la compétence pour cela et je précise que mon intervention ne se voulait que le modeste constat d’un modeste citoyen (je laisse les analyses aux spécialistes) et nous attendons tous, par contre, une véritable analyse (pas un discours électoral) de la part du spécialiste que vous semblez être.

Vous avez, apparemment, décelé dans mon intervention une attaque de la gestion de notre président. J’ai lu et relu mon intervention, je n’ai pas trouvé puis, avec du retard (je suis dur à la détente), j’ai compris que votre intention n’était pas d’intervenir dans le débat mais de trouver, à n’importe quel prix et dans n’importe quelle rubrique, matière à rebondir pour étaler vos louanges, espérant qu’elles soient remarquées par la bonne personne.

Et, comme tous les laudateurs, apprentis ou professionnels, vous avez profité de cette occasion, qui n’en est d’ailleurs pas une, et sorti votre mandole et votre bendir afin de vous retrouver dans la bonne qafila (caravane) au bon moment.

Maintenant, si vous voulez aborder le sujet qui vous tient tant à cœur, je veux parler de bilan ; posez, alors courageusement les questions qu’il faut.

De quelle époque est l’affaire Khalifa ? De quelle époque est l’affaire BRC ? De quelle époque sont les plus gros scandales bancaires ? De quelle époque sont les assassinats de 123 personnes en Kabylie ? De quelle époque sont les interventions militantes « dobermanisées » ?

Comment espérez-vous dédouaner quelqu’un qui a TOUJOURS été dans les rouages du pouvoir, et aux postes les plus importantes SVP, depuis 1962 (et bien avant) ?

Mais cela est un autre débat.

Pour finir, je vous souhaite bonne chance. J’espère que votre pathétique appel du pied sera remarqué et récompensé.

Mr AbuJehl, Oui je parle de Md DHIABI qui était à la tête d'une structure de la Banque qu'avait dirigé de son temps un certain Madjid Nassou que un membre de ce forum qui porte un nom noble d'ailleurs (Si Mohand ou m'hand) a qualifié de cadre émérite. Néanmoins, il était au service d'un vendeur de tripes comme vous le dites. Je savais que Md DHIABI était Caissier à l'agence CPA de Guelma. Mon but n'est pas de porter atteinte à la personne de ce dernier qui n'est plus de ce monde mais de montrer combien l'incompétence à gangréné les institutions algériennes puisque un homme comme Dhiabi qui était un DGA (Directeur Général Adjoint chargé de l'exploitation) dirigeait la banque dont les PDG successifs s'appelaient Madjid Nassou et El Hachemi Meghaoui. Ces deux PDG ont la même caractéristiques, ils sont originaires de Béjaia donc de et l'Est et "Kabyles" (*) donc de service. Au final, les classement de l'Algérie est plus qu'honorable (JAJAJA) comme dirait le mexicain, c'est le rire mexicain.

Ils ont bâti un système en arborescence de serviteurs à tous les niveaux d'organisation de la banque au niveau des Directions opérationnelles, groupes d'exploitation jusqu'aux agences les plus retirées du réseau.

Madjid Nassou s'est affranchi un tant soit peu de l'emprise de Mahammed Dhiabi en léguant le Direction du CPA à un certain El Hachemi Méghaoui qui est venu d'une entreprise de Tourisme pour dirigier un établissement bancaire, a été nommé PDG de la BDL et a failli de liquider cette banque.

Il a par la suite diriger la Banque Al rayan avec tout son lot de financements douteux et d'opérations de blanchissement d'argent je vous laisse deviner la suite....

(*) Il faut bien comprendre le "Kabyle" de service. Si vous n'arrivez pas à comprendre, demandez le moi, je vous l'expliquerai.

PAUVRE ALGERIE,