tuer les innocents civils c pas juste du coter palestinien ou israilien chez nous en algerie il y a tous les jours des mort a petit feu (harraga;suicide;terrorisme;etc..) ya personne qui parle ya pas dimage et puis faut voire la realiter en face les 7 annees de guerre dalgerie yavait pas un pays arabe qui a aider notre algerie ni finencierement ni materiel ni humaine volantaire arabes pour aider a combattre les colonisateur francais aujourdhui nos politiques a la tete bouteftef a entrainer notre peuples a soccuper et se tracasser pour ces gents entv parle toute la journee de la palestine que ce qui se passe en algerie rien ; ouvrer vos yeux est apprenait a defendre notre algerie avant tous

Le choix cornélien.

Habituellement présentes aux côtés des palestiniens pour dénoncer les faits et gestes de l'armée de Tsahal, il reste à espérer qu'elles se manifesteront les associations de protection des Droits de l'homme de la même façon pour vilipender l'extrémisme présent au sein du peuple palestinien.

Le pouvoir du Hamas à Gaza, a franchi une nouvelle étape inquiétante, dans sa voie vers la radicalisation. Flagellation, mains coupées, et surtout peine de mort, ont été voté par le parlement en guise de sanction aux délinquants. Les criminels de Gaza seront donc bientôt châtiés conformément à la loi islamique.

Les pendaisons, qui sont monnaie courantes à Téhéran, pourraient être bientôt appliquées à Gaza.

Depuis l'arrivée au pouvoir, par un coup de force, des islamistes du Hamas, le territoire palestinien a effectivement pris un chemin inquiétant vers la radicalisation religieuse.

Après la fermeture des cafés Internet, l'obligation du port du voile, le Parlement vient de franchir une étape dangereuse.

Les criminels de Gaza seront bientôt châtiés, conformément à la loi islamique. Un projet de loi en ce sens a été adopté à une large majorité.

En vertu de ce texte, les voleurs palestiniens auront les mains coupées, ceux qui stockent, fabriquent ou consomment de l'alcool seront flagellés, voire emprisonnés.

Il faut poursuivre le dialogue avec les Palestiniens qui le veulent ; cependant, il me semble, qu'il faut être intraitable avec ceux qui s'abritent derrière les femmes et les enfants pour semer la mort en Israël et chez eux, il s'agit du Hamas, d'Ismaïl Haniyeh, du chef en exil du Hamas, Khaled Mechaal et les Brigades d'Ezzedine al-Qassam, la branche armée du Hamas qui contrôle la bande de Gaza.

La reconnaissance par les instances internationales du droit des Palestiniens fut un tournant heureux et salutaire pour tous. Il n'y a pas longtemps les Palestiniens étaient interdits de cité notamment en Europe et aux USA. Voilà que maintenant l'Autorité palestinienne est présente à presque tous les forums et assises internationaux.

En contre partie il revient à l'Autorité palestinienne de mettre de l'ordre chez elle et de clarifier sa position vis-à-vis des terroristes, car l'on ne peut être en même temps une Autorité palestinienne l'entité gouvernementale, un gouvernement responsable d'un coté et d'un autre coté afficher une attitude mi figue mi raisin devant les agissements et opérations de ceux qui veulent encore détruire tant en Israël que chez eux.

L'Autorité palestinienne doit également rabrouer ceux, parmi la sphère islamo arabe, (Arabie saoudite, Jordanie, Syrie, Égypte, Libye, Algérie... etc)

qui se targuent d'être de son coté, pour non pas l'intérêt des Palestiniens mais pour leurs intérêts d'arrière garde contre leurs peuples respectifs et faisant du différend objectif Israelo-Palestinien un fonds de commerce pour endormir et gruger leurs citoyens. (pour preuve, malgré les centaines de milliards de dollars engrangés, ces pays notamment ceux à pétrodollars ont été incapables de réunir les quelques milliards nécessaires à l'Autorité Palestinienne qui continue de vivre de l'aide internationale – provenant essentiellement des pays « judéo chretiens »), c'est çà l'hypocrisie. Comme quoi on peut être plus Palestinien que les Palestiniens!!!

Vrai leurre et fausse prophétie.

Faut-il être d'un niveau d'expertise pour découvrir que les Palestiniens de Hamas ne respectent plus l'accord tacite avec Israël, ou être fin politologue pour savoir que la Conférence d'Annapolis est un leurre de plus dans la lignée des Accords d'Oslo ? Il suffit d'ouvrir les yeux.

Quant à la radicalisation du discours politique, il n'est que l'expression d'une très lente et très tardive prise de conscience pour tenter de se dégager des mailles d'un filet mortel dans lequel, depuis Oslo, les dirigeants successifs d'Israêl se sont laissés piéger en entraînant avec eux tout Israël.

Car l'occultation en question, c'est celle de leaders irresponsables qui, voulant la paix au prix fou de fragiliser Israël à l'extrême en refusent de voir que les pays arabes, au prétexte des Palestiniens, ont toujours agi contre la création d'un Etat palestinien aux côtés d'Israël pour faire en sorte qu'il y ait un Etat prétendument palestinien à la place d'Israël.

En vérité, un 23e État arabe.

Mais venir énoncer ces vérités d'évidence et dénoncer tous ces leurres travestis en « processus de paix » expose quiconque tient ces propos à se faire accuser d'être contre la Paix et la coexistence entre Arabes et Juifs dans une sorte de chantage pervers.

Ce qui a toujours cours dans l'idéologie dominante en Israël se traduit ainsi par le discours d'un Shimon Pérès, en dépit et en déni de la réalité, toujours sur le chemin de la paix tracé par Y. RABIN. Le dogmatique Shimon Pérès n'apprend rien de l'histoire.

Alors, est-ce que les propos de PERES et d'OLMERT témoignent plus que jamais de leur désir de faire la paix ? Funeste plaisanterie !

En vérité, la tentative de mettre en œuvre à marche forcée des « Accords d'Oslo » ne nous permet toujours pas une réflexion lucide et sereine de la situation.

Il est toujours interdit d'interroger non pas le principe de la recherche de la paix, mais la pertinence de ce processus biaisé pour y parvenir.

Tout questionnement et toute contestation de cette option qui a apporté à maintes reprises sa nocivité et son cortège de tragédies est forclose.

Question : Qu'est-ce peut conduire des individus, qu'ils soient politiques ou supporters de politiques, à s'enfermer jusqu'à s'aliéner dans un processus répétitif d'une erreur fondamentale dans un tel choix politique et stratégique ?

En psychologie, ce phénomène est connu.

C'est « la tendance naturelle » qu'ont certains individus à s'accrocher de façon rigide et aveugle aux solutions qui s'avèrent graduellement et objectivement inadaptées.

Dans le cas de ce « syndrome d'Oslo », ce que nous voyons encore et toujours, ce sont des gens qui, peut-être sincères et bien intentionnés pour certains d'entre eux, essayent d'améliorer les choses et pour autant, comme par « magie négative », c'est ce qu'ils essaient de faire pour, prétendent-ils, améliorer la situation qui au contraire la fait empirer toujours davantage.

Chez ces individus, il s'agit d'une logique qui se réfère à une idéologie toxique qui leur sert à structurer leur système de pensée.

De leur système de pensée découlent des choix politiques que ces mêmes personnes s'acharnent à présenter comme correctes, justes, voire irremplaçables. Que ces actions réussissent ou qu'elles échouent, peu importe !

Ces positions sont « auto-scellées » et ils tiendront le même discours.

Ils s'acharneront à maintenir la même conduite et, dans une fuite en avant, de se targuer de tenir le même cap en déni des récifs pourtant visibles en refusant de faire machine arrière pour emprunter une autre voie d'accès pour atteindre un même but.

C'est pourtant ce qui se produit depuis Oslo : Renoncement à des parties du territoire d'Israël, retrait du Liban, abandon du Goush Katif, projets de plus en plus avoués de renoncer à la Judée-Samarie, à une partie de Jérusalem, etc. Ils se délestent pour arriver plus vite sur l'obstacle. De l'autre côté certains des 22 pays qui ont tous en commun une langue et une culture arabo-musulmane ne veulent rien savoir ni entendre sauf "libérer toute la Palestine, de la rivière à la mer, de Rosh Hanikra à Oumm Al-Rashrash". Palestine de la rivière (le Jourdain) jusqu'à la mer Méditerranée, de Rosh Hanikra à Rafiah (près de Gaza) .

Il semble se passer paradoxalement chez ces « belles âmes » qui se trouvent « incarcérées » dans leur erreur de jugement, comme si le fait d'avoir à se confronter à une trop forte contradiction sur le plan psychologique consécutivement à leur choix erroné, est vécu de manière encore plus menaçante que le danger réel vers lequel ils veulent mener la vie et la survie des deux peuples.

Et reconnaître l'ampleur de son erreur, surtout lorsque l'on investit sa croyance d'une valeur quasi messianique, est pour eux inconcevable.

Comme le disait Hegel, lorsque « les faits ne s'accordent pas à la théorie, dommage pour les faits ! ». Mais les faits réels sont têtus.

Je vous en donne une illustration.

Février 1956, à Moscou, KHROUCHTCHEV lit devant les délégués du XXe Congrès du Parti Communiste d'URSS un rapport secret dont il leur sera expressément demandé de ne divulguer aucun extrait écrit à l'extérieur où il accuse son prédécesseur, Staline, de crimes ignobles : Mises en accusation, liquidations de nombreux dirigeants communistes lors des grands procès de Moscou, exécutions d'opposants, déportations par millions, etc. Tout cela au nom du « bien » du peuple. L'enfer est toujours pavé de bonnes intentions en politique.

Ces divulgations de ce rapport ont des effets détonants, cataclysmiques. Elles mettent à jour l'idée que l'utopie généreuse du marxisme-léninisme mène à une impasse, à une catastrophe et pire, c'est est un totalitarisme.

Certains délégués pensent que KHROUCHTCHEV est manipulé par la CIA, qu'il est un instrument de l'impérialisme et du capitalisme et ils refusent d'admettre cette évidence.

Conséquences : Ils renforcent leur déni des faits et dans les partis « frères », on redouble de militantisme dans la « voie » qui ne peut être que la meilleure et qui doit assurer la rédemption sur terre et redoublent les persécutions contre ceux qui la vérité arrive.

Très peu de militants quittent cette idéologie mortifère et autant se suicident par dépit de se s'être laissés égarer.

C'est ce à quoi nous assistons, en substance, en Israël quand une croyance néopaganiste d'extrême droite quand une pensée politique érigée au niveau d'un dogme intangible et aveugle à prétention pseudo messianique, promettant la rédemption par « ce » processus de paix et n'accordant aucune place à la réfutation et à tout réexamen.

Les théocrates ne sont pas toujours ceux que l'on croît ! Aujourd'hui ils se recrutent surtout chez les négateurs de D'ieu plutôt que chez ses fidèles.

Pour consolider davantage cette croyance dans l'illusion de son caractère juste et infaillible, et pour se convaincre qu'« il n'y a pas d'autres voies », les adeptes de « ce » processus répondent à la situation par l'absurde, par l'irréalisme, en provoquant des actes irréversibles : Plutôt le renforcement dans l'erreur, que de renoncer à un processus pour cause d'erreur !

Malheureusement, la « gauche » en Israël s'inscrit dans cette fidélité zélée et dans cette filiation d'une idéologie sectaire, incapable d'auto critique, parfois même totalitaire par bien des aspects dans son mode de pensée.

Et tant pis pour ces sectateurs si « leur » processus a avorté, s'il est mort-né, momifié.

Cette opération d'« auto-scellement » et de verrouillage de l'engagement mental dans ce processus dit « d'Oslo » et ses avatars, est désormais utilisé comme une arme par les ennemis arabes d'Israël et par les détracteurs des défenseurs d'Israël en Israël même.

C'est ce que nous donnent à voir de manière chronique maintenant les tourments de l'actualité israélienne.

La voie qu'avait choisi et scellé Y. RABIN victime de ses mauvais conseillers s'est, dans la réalité, révélée plus qu'illusoire, périlleuse, d'un prix disproportionné pour Israël sans aucune garantie de succès et de l'avis même de ses instigateurs au moment même de sa mise en application. Ce qui est un comble !

Cette attitude fonctionne comme une sorte d'« autisme politique ». Elle pousse à des concessions répétées, illimitées et inconsidérées ; à faire écran à la réalité et de tenter de saturer la « pulsion judéophage » des ennemis islamistes arabes d'Israël mais sans aucune contre partie, le VIVRE ENSEMBLE.

Cette coalition a réussi le tour de force de faire accepter en anesthésiant Israël de conscience des âmes bien pensantes, le principe diabolique et unilatéral et qui a valeur de lapsus : « Des territoires CONTRE la paix » ! Non pas la paix en échange de la paix, voire des territoires en échange de la paix. Non, des territoires contre la paix !

Quant aux deux peuples, n'est-ce pas Corneille qui s'est plu à exposer, à mettre en scène, des dilemmes presque insolubles. Il est en effet difficile de choisir entre la femme dont on est

amoureux et le père que l'on respecte lorsque ce choix "mécontentera" l'un

des deux. Eh oui "L'Aspect cornélien".

Dalaï Lama disait «Le désarmement extérieur passe par le désarmement intérieur. Le seul vrai garant de la paix est en soi».

GHALEB-LYES, ILYAS LE LAÏC.