Oran aura sa deuxième usine de véhicules français en 2016

L'usine de la marque au lion sera installée dans la région oranaise.
L'usine de la marque au lion sera installée dans la région oranaise.

Le projet de construction d'automobile de marque Peugeot en Algérie est "presque finalisé" et un pacte d'actionnaires sera prochainement signé, a indiqué, mardi à Paris, le ministre de l'Industrie et des mines, Abdeslam Bouchouareb.

"Il est presque finalisé. Il reste un ou deux petits points à régler", a répondu le ministre à une question de l'APS, à l'issue de sa rencontre avec le Medef-International. "Je peux vous assurer que lors de la réunion du Comité intergouvernemental de haut niveau, co-présidée par les Premiers ministres des deux pays, que nous serons en situation de signature du pacte d'actionnaires", a-t-il ajouté.

En septembre dernier, M. Bouchouareb avait indiqué que les négociations, qui avançaient bien entre les partenaires algérien et français, devraient aboutir dans un "futur proche", affirmant qu'une partie de la production de la future usine sera destinée à l'exportation.

Une source proche de ce ministère avait précisé que le problème du foncier a été réglé pour l'installation de l'usine dans la région d'Oran et que même une assiette de 25 hectares a été dégagée pour la sous-traitance.

L'usine Peugeot démarrera, selon une déclaration faite, en juin dernier, à la presse par le ministre de l'Industrie, l'année prochaine. Elle fabriquera les modèles C1, C-Elysée et la 301.

Avec APS

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Commentaires (2) | Réagir ?

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rabah Benali

Bonjour à tous.

Le choix de la région "Ouest du Bouteflekistan" pour l'implantation de ces ateliers de montage véhicules n'a rien d'étonnant ou de particulier. C'est une preuve représentative additionnelle de l'esprit régionaliste haineux acerbe et ravageur importé des "hamams" d'Oujda et de Tlemcen un matin de 62. Durant la "danse endiablée dite révolutionnaire" des années 60/80, la devise des "Bouchlaghams 1er" était: "équilibre régional et construction d'un "radjouloun djadid". Résultat de la course, 5 décénnies plus tard environ, le fameux "radjoulou al djadid" c'est avéré être juste un tube digestif tout à l'égoût incapable de se s'auto-nourir. Les "Bouchlaghams" successifs n'ont pas omis de le formater à regarde rêveur les navires arriver. Quand à l'équilibre régional, les seuls et uniques moyens de paiements pour remplir les tubes affamés sont exclusivement concentrés à Arzew. (exportation pétrolière). Le port de Bejaia, premier port pétrolier hérité de fafa, a été progressivement abandonné. Les kabyles étant trop remuants et donc dangereux pour leurs mettre de la technologie pétrolière entre leurs mains. Dans les années 80, même une raffinerie, (15 millions de tonnes/an = env 30 % de la capacité de raffinage totale de l'époque), projet échappé à la vigilance des gardiens du temple, a été tout simplement annulée alors que 90 % de ses équipements étaient 100 % payés en USD sonnants et trébuchants. Ses équipements (spécifiques) ont été tout simplement abandonnés à la rouille sur les plages de Bethioua (plus discrète que la remuante/turbulante Bejaia). La symbiose, révolte des criminels barbus et pression des criminels FMI/banque mondiale des années 90 ont abouti au débridage forcé sauvage tous azimuts de l'économie dirigée des "Bouchlagham.

Les quelques "entrepreneurs rationnels" notamment dans l'activité remplissage de tubes digestifs se sont avérés être majoritaires des régions non "Ouest". L'huile, le sucre, les produits laitiers, l'eau, les spaghetis etc.. etc sont produits majoritairement, pour ne pas dire exclusivement, dans les régions non "Ouest". (Bejaia, Setif, etc..). Une dernière tentative de correction par étouffement fût le "by pass" autoroutier criminel de la ville et région de Bejaia. Ville et région qui ne demeurent reliées au reste du pays que par des routes obsolètes hérités de fafa. Apparemment même cet action criminelle c'est avérée contra-productive et quelque part dangereuse même pour ses propres architects et initiateurs. Les Bouchlagham de Tlemcen et de navarre ont compris qu'il y va de la stabilité du tube digestif du "radjoulou al djadid", donc de la pérénnité de leur propre "système" et entreprise mafieuse. Donc in fine, encore une fois, la manœuvre d'installation d'ateliers de montage véhicules dans la région Oran, ne répond à aucune logique économique rationnelle. Par contre, elle est le fait régionaliste primaire et primitif de la sècte/ truands actuellement aux commandes du navire fou Algérie. A cet effet, le débat sur l'autonomie négociée de la kabylie est pleinement et totalement justifié. C'est même devenu une urgence vitale. Il est temps pour nous algériens demeurés fidèles à nos valeurs Amazigh de faire en sort de quitter le navire. Le plus tôt serait le mieux. Quitter cette organisation criminelle érigée et dressée en "nation arabo-tchektchouka" tout en veillant à emporter avec nous notre dû de la cagnotte et de la tirelire. (richesses naturelles, notamment pétrolières, de ce pays. Pays pour lequel notre région, nos ancêtres et nos parents ont payé un des plus lourd Tribut pour ses libérations successives). Rabah Benali

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Bachir Ariouat

Je voulais dit, tous les industrie se crée sur l'ouest, le reste du pays, le peuple peut crever de faim.