Hassani a été « balancé » à la France par Hichem Aboud et Semraoui
L’apparition du diplomate algérien Mohammed Ziane Hassani dans le sombre dossier Mecili remonte à 2001. En effet, le 14 juin 2001 : dans un entretien au Nouvel Observateur, Hichem Aboud, ancien chef de cabinet du directeur central de la Sécurité militaire algérienne, affirme que Rachid Hassani (le signataire de l'ordre de mission d'Amellou) lui a confié être l'organisateur de l'assassinat.
Puis, le 2 juillet 2003 : le colonel Mohammed Samraoui, ex-officier de la Sécurité militaire réfugié en Allemagne, témoigne devant le juge d'instruction Baudoin Thouvenot (qui a repris le dossier) : trois mois après le crime, il a vu Rachid Hassani remettre à Amellou une forte somme d'argent en règlement de son « contrat ».
Le 13 novembre 2007, en dépit de ces dénonciations, le parquet estime que « la délivrance d’un mandat d'arrêt ne s’impose pas ».
Le 7 décembre 2007 : contre l'avis du parquet, le juge Baudoin Thouvenot lance un double mandat d'arrêt international contre Abdelmalek Amellou et Mohamed Ziane (Rachid) Hassani
« A l’époque des faits, le tueur présumé avait été rapidement interpellé avant d’être aussi vite expulsé vers son pays d’origine sur ordre du ministre de l’Intérieur, Charles Pasqua, précise M e Antoine Comte, l’avocat des parties civiles. Un mandat d’arrêt international a également été délivré en décembre 2007 à l’encontre de ce suspect. On garde espoir de le voir interpellé un jour. » « L’affaire Mecili, c’est une affaire Ben Barka bis, poursuit M e Comte. Sauf que pour Ben Barka, le président de Gaulle avait tapé du poing sur la table pour exiger que la justice passe. Cela a été tout le contraire dans le cas d’Ali Mecili. »
L.M.
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-Monsieur Rahabi,
Je sais que Vous êtes toujours de service et que vos propos dans le quotidien Liberté ne peuvent s 'inscrire que dans cette optique, et c'est aussi pour vous une occasion pour se faire une virginité auprès des vrais décideurs du pouvoir algérien, pour être recyclé bien sûr quelque part.
Nous savons qui décide réellement dans le pays, la D. R. S est omniprésente dans tous les rouages de l'état, c'est la toute puissante S. M, et elle seule, qui mène à sa guise la valse en Algérie.
Toutes les nomminations au sein des appareils de l'état se font avec sa bénédiction, ils ont le dernier droit de regard dans toutes les affaires de l ' état algérien.
Alors, c'est pour cela que je comprends bien pourquoi monsieur Rahabi défend Rachid Hassani, le vrai commanditaire de l'assassinat de maître Mecili, il se met encore comme à son habitude au service du tout puissant général Toufik, du moment qu'il prend la défense de l' un de ses éléments dans le journal Liberté, relais des services de renseignements.
Pour Hichem Aboud et Smraoui, ils sont toujours au service du D. R. S et l' exil politique n'est qu'une couverture pour leurs opérations de noyautages en Europe, opérations visant l' opposition en général, le " MAOL" et les réseaux islamistes en particulier, et tout ça avec la bénédiction d'Alger et des capitales européennes.
Je suis catégorique !Rachid Hassani est le vrai commandiataire de l'assasinat de maître Mecili.
- Haider le Blanc
MAOL
franchement ça devient ubuesque. c vraiment une melasse. j'ai pas l'habitude de participer aux forums parce que en général ça n'est pas très mesuré mais là cette histoire m'interpelle sur trois aspects: premièrement c'est trop facile de tomber à bras raccourcis sur un parfait inconnu, ce Hassani qui en plus n'aurait rien à voir avec le Rachid en cause dans l'affaire Mecili, selon l'ex ambassadeur et ministre Rahabi. pour ma part j'aurais tendance à le croire car c trop bizarre qu'on arrête ce monsieur en 2008 alors qu'il s'agit d'un diplomate qui a dû vivre et voyager à travers tous les pays du monde y compris la France. deuxièmement comme le signale un commentaire la police française croit Aboud et Semraoui. pourquoi elle ne procède pas à leur arrestation aussi car ils ont tout vu et entendu. troisièmement, le même Hicham Aboud affirme que les français se trompent et qu'il s'agit d'une autre personne. si les français l'ont cru pour l'accusation pourquoi ils ne le croit plus lorsqu'il lave Hassani de cela. tout ça est très flou.
je pense pour ma part que ce pauvre fonctionnaire fait les frais d'un reglement de comptes. sinon il y aurait eu une levée de boucliers de la part de sa hierarchie toujours prompte à accuser la main de l'étranger. ce qui me navre en défintive c'est que personne ne se donne la peine de rappeler les faits et les acteurs principaux. ceci pour bien comprendre les tenants et les aoutissants. j'avoue que pour moi c'est très sombre: qui était vraiment Mecili, pourquoi on l'a tué, pourquoi le meurtrier a-t-il été relaché et que son présumé complice arrêté. chacun y va de son histoire;un journaliste pourrait-il démeler l'écheveau et éclairer notre lanterne surtout tenter de se rapprocher de M. Hassani ou de son avocat pour savoir qu'elle est sa version des faits. le matin a raison de souligner que trop de faits bizarres se passent en ce moment en Algérie.
un dernier mot Hassani était sous mandat d'arrêt international alors qu'en même temps il était chef du protocole des Affaires Etrangères c'est à dire qu'il travaillait avec les étrangers donc les français aussi. tout ça est trop bizarre. vive la démocratie.