Pétrole: le Brent de WTI se négocie à 46,75 dollars à New York

Le prix du pétrole dégringole
Le prix du pétrole dégringole

Les prix du pétrole ont ouvert en forte baisse lundi à New York, poursuivant leur dégringolade vers des niveaux plus vus depuis presque six ans, plombés par un marché très pessimiste face à la surabondance de l'offre.

Vers 14h20 GMT/15h20 HEC, le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en février perdait 1,61 dollar à 46,75 dollars, sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), évoluant à des plus bas depuis mars 2009. Le marché du brut était victime en ce début de semaine "d'un environnement baissier sur les prix", a relevé Matt Smith, de Schneider Electric, se référant à la révision en baisse par des banques de leurs anticipations de prix pour le brut cette année.

Très commentées ce matin sur le marché, les nouvelles prévisions de la banque d'affaires Goldman Sachs font état d'un WTI à 41 dollars dans trois mois, à 39 dollars dans 6 mois avant un rebond jusqu'à 65 dollars dans un an, contre respectivement 70 dollars,75 dollars et 80 dollars estimés auparavant, dans une note.

Pour le Brent de la mer du Nord également, les perspectives étaient maussades, les experts de la banque prévoyant un baril à 42 dollars dans trois mois, à 43 dollars dans six et à 70 dollars l'an prochain, contre 80, 85 et 90 dollars précédemment.

Le regain des vigueurs des cours prévus pour la mi-2015 sera porté par "un ralentissement de la croissance de l'offre américaine", l'exploitation du pétrole issu du schiste devenant de moins en moins rentable, "de nouvelles perturbations de la production en Libye, et un regain de la demande aux Etats-Unis, déjà visible", précisent les experts de Goldman Sachs dans cette note.

Mais pour l'instant, la pression sur les cours restait très appuyée, "d'autant plus que le dollar gagne une nouvelle fois en vigueur" contre un panier de devises, a relevé Matt Smith. "Il y a peu de raisons qui empêchent les prix du pétrole de chuter davantage", ont renchéri les analystes de Morgan Stanley.

En dépit de ce plongeon des prix, l'Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) se montre inflexible sur sa décision de ne pas réduire son plafond de production à 30 millions de barils par jour (mbj) prise lors de sa dernière réunion en novembre.

AFP

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Commentaires (1) | Réagir ?

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sarah sadim

Merci mon Dieu de mettre fin à la fausse richesse et la fausse suffisante chez nous, quelle réjouissance de le voir bientot ce baril du pétrole à moins 40 dollars, les marocains d'algérie retourneront ils à leurs prostitutions ancestrales?

CA NE S'ARRETTERA PAS CETTE CHUTE AUX ENFERS, ET, ALORS QU'IL ATTEIGNE 14DOLLARS LE BARIL?

OU EST LE PROBLEME POUR LE CITOYEN LAMBDA, RIEN A CIRER, IL BRULERA la république des marocains d'algérie, plus vite mon dieu et que la guerre de la famine commence, ces vas nus pieds seront ils pendus nus?Qui sait si ce n'est pas demain, ah la peur est terrible chez Fakhamatouhou, alors continuer à tuer du Mozabite et du saharien et d'autres, votre tour sera bientot là, fils de satan, vous ne croyez pas, attendez encore un peu et vos yeux verront le spectacle des "yeux de gueddafi" peut etre pire, ca sera la plus grande réjouissance depuis cette satanique indépendance de 1962, et que le baril ne se vend plus et alors on volera, on agressera on fera le bordel pour voler son pain.

A bientot la fin de l'épisode 1962 2016;