Les Algériens font moins d'enfants
Nous sommes 34,8 millions d’Algériens résidaient en Algérie au 30 avril 2008, a indiqué hier un communiqué de l’Office national des statistiques (ONS). Les résultats préliminaires du 5e Recensement général de la population et de l’habitat (Rgph), dont l’opération s’est déroulée entre le 16 et le 30 avril 2008, commencent à être connus.
«Cette population comprend la population des ménages ordinaires et collectifs qui est estimée à 34,23 millions. Le nombre des nomades est estimé à 230.000. Quant à la population résidente dans les établissements spécialisés, elle est de 300.000 habitants», a précisé encore le document de l’ONS.
Les Algériens font moins d'enfants . En comparaison avec le recensement de 1997, le document ressort un taux d’accroissement annuel moyen intercensitaire de 1,72%. Les taux constatés durant les périodes intercensitaires précédentes étaient de 2,15% pour la période de 1987-1998, de 3,06% pour la période de 1977-1987 et de 3,21 pour la période de 1966-1977. La population des ménages nomades est concentrée pour 73%, soit 168.000 personnes, dans six wilayas, à savoir Djelfa, El Bayadh, El Oued, Naâma, Tamanrasset et Laghouat.
En termes de répartition de la population des ménages ordinaires et collectifs selon la dispersion, il ressort que 70% de cette population réside dans les agglomérations chefs-lieux (ACL), 16% dans les agglomérations secondaires (AS), le reste dans la zone éparse (ZE), note la même source, qui souligne qu’en 1998, cette répartition était respectivement de 66, 15 et 19%.
Le document précise que tous ces résultats sont issus d’une première exploitation rapide des tableaux récapitulatifs communaux (TRC) renseignés par les délégués communaux à partir des documents de travail des agents recenseurs (cahiers de districts et carnets de visite).
Ces résultats sont appelés à être affinés et complétés à l’occasion de l’exploitation informatique des feuilles de ménage, ajoute le document de l’ONS.
Pour rappel, plus de 70.000 encadreurs et agents, dont 80% de femmes universitaires, ont été mobilisés pour le 5e recensement général de la population.
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Commentaires (6) | Réagir ?
la baisse de la fecindité est une caracteristique des changements profonds qui affectent notre societe, et pas seulement, meme nos voisins maghrebins sont dans le meme cas, d'apres une etude du talentueux emmanuel todd, et les causes sont multiples de la tranformation, d'une societe rurale a une population vivant en majorité dans les ville, aux crises economiques a repetition et l'emmigration d'un nombre eleve de jeune vers d'autres ciels plus clements et un, e crise d'habitat.
mais notre pays est le plus touché etant donné la decennie qu'il vient de traverser et une crise politique et qui continue et que ne donne pas envie de faire des enfants.
si la situation perdure sur une longue durée et le taux ne depasse pas 2, 1 enfants par femme on sera en difficulté de remplacer les generations et un casse tete pour financer les retraites de nos vieux (les jeunes d'aujourd'hui).
mais je pense que ce qui est vraiment intenable c'est le celebat d'une importante frange des jeunes dans un pays ou les moeurs sont aussi serrés que des bottes de pointure 36 dans des pieds de 44.
je ne suis pas pas un libertere ni un adepte des lieux special mais je pense qu'il faut regarder les choses telles qu'elles sont et essayer de" trouver des solutions apres des debats de societé.
Et la presse arabophone s'affole (Elkhbra)... voilà ce que cela donne l'école algérienne alors que le controle des naissances est une des conditions du développement
Hier à Montréal, un journal rapportait qu'en égypte chaque 3mn un enfant naissait... conséquences de mentalités archaiques ou la contraception est dite haram... résultat ils n'ont même assez de pain et aucune industrie ou invention
Pire le journal a ajouté qu'un riche Saoudien de 92 ans a proposé 25000 $ à une famille pauvre pour épouser leur fille de 17 ans
Voici les résultats de dictaturesmafieuses qui laissent les peules dans l'ignorance