Un homme se noie, a-t-on besoin de lui demander son avis pour lui porter secours ?
Une maison brûle avec toute une famille coincée à l’intérieur, a-t-on besoin de son avis pour savoir s’il faut la sauver ou pas ?

Des voyous torturent et violent sous vos yeux une gamine, faut-il demander l’avis de cette enfant pour intervenir ?

Demande-t-on à un affamé s’il veut manger ou à un aveugle s’il veut recouvrer la vue ?
J’ai mille exemples à vous citer pour étayer ma conviction intime : Nul besoin d’attendre ou de tergiverser, nul besoin de concertations ou de palabres inutiles pour faire du bien, pour sauver des vies humaines, un peuple, une nation, une société. Un proverbe bien de chez nous rappelle ceci : «A qui veut faire du bien, nul besoin de Conseil»

Pourquoi cette digression si lointaine de mon sujet d’aujourd’hui ? L’armée et la politique.

Parce que j’ai été singulièrement et positivement frappé par l’appel d’un général à la retraite (M. Antar) qui en appelait à l’ANP pour sauver ce qui reste encore à sauver de l’Algérie. Moi qui, depuis toujours, pour des raisons philosophiques, morales et politiques, surtout personnelles (ancien torturé par le régime des militaires) j’ai spontanément et profondément adhéré à cet appel (El-Watan du jeudi 03 avril 2014) Pourquoi ai-je adhéré?

Jusqu’à présent, j’ai vu passer des appels républicains d’ex militaires qui se réduisent presque tous à ceci : Ce régime est pourri et corrompu, votez pour moi, je ferai mieux ! Je répliquais toujours et invariablement, en public ou en privé, de la même manière, avec les mêmes arguments : Si ce régime est pourri et corrompu c’est justement et précisément parce qu’il a été imposé, soutenu, protégé et entretenu par l’armée ; en fait par un quarteron de généraux tout aussi intéressés que les marionnettes qu’ils manipulent.

En vrai, mon rejet et ma révulsion de l’intrusion de l’armée dans les affaires civiles et politiques du pays sont aussi vieux que l’assassinat d’Abane Ramdane dont les revendications, de son vivant, après le congrès de la Soummam, étaient simples, claires et limpides : Primauté du civil sur le militaire et de l’intérieur sur l’extérieur.
Il en est mort, torturé et étranglé! Par ses supposés «frères» de combat qui n’étaient pas propres, pas nets et ne l’ont jamais été ! Sans être sûr qu’ils menaient le même combat. Mais alors pas du tout. Les uns, les grands se battaient pour l’Algérie et son peuple, les autres, les planqués se «battaient» eux, pour préparer leurs grandes carrières postindépendance. Ils y ont admirablement et honteusement réussi. Boussouf devenu grand inspirateur de l’ombre, Boumediene président et Bouteflika ministre des AE après l’assassinat (programmé ?) de Mohamed Khemisti. C’est dans leur culture d’assassiner ceux qui ne sont pas d’accord avec eux.

A-t-on satisfait, pour autant, cette revendication fondatrice formulée par Abane Ramdane? Non, jamais. Depuis – 56 ans – ce sont bien des militaires, en vrais sergents et caporaux dans l’âme, qui ont dirigé et dirigent toujours l’Etat algérien et son économie. A l’exception soulignée de Boudiaf, le seul civil président, assassiné par ces mêmes militaires après seulement six mois de règne.

Abane, avant lui, fut donc assassiné par ceux-là mêmes qui ont imposé le système politique qui dure et perdure à ce jour avec parfois les mêmes hommes qui ont participé ou camouflé ou travesti ou justifié cet assassinat. N’est-ce pas Si Abdelaziz ? Les deux seuls civils instruits et compétents, F. Abbas et B. Benkhedda (pharmaciens) présidents successifs du GPRA, ont été limogés par la force au profit de l’Etat Major militaire d’Oujda.

J’ai encore en tête la tristement célèbre UNE sur cinq colonnes d’El-Moudjahed hebdo, porte-parole de la révolution algérienne «ABANE RAMDHANE, MORT EN HEROS SUR LE CHAMP D’HONNEUR, LES ARMES A LA MAIN» Les mensonges d’Etat ont commencé là. Je veux bien pardonner cette légèreté à mon ami Rédha Malek, alors directeur du journal. Mais, sans le mépriser, disons humblement qu’il ne savait pas. Mais comment donc un homme aussi brillant, aussi politique, l’Homme des accords d’Evian, ne savait pas. Allons donc ; les lecteurs sérieux m’en riraient au nez.

Mais, faut-il le rappeler, les tout premiers dirigeants du GPRA ont eu, tout de même, la chance de n’avoir pas été liquidés physiquement par la bande à Boussouf comme l’ont été les colonels Amirouche, Haoues, Lotfi et bien d’autres officiers supérieurs de l’ALN acquis aux idées d’Abane. Et comme l’avait souhaité L. Ben M’Hidi pour lui-même, ils sont morts dans la grandeur et la dignité en s’évitant de vivre les monstruosités et les horreurs postindépendance. Ce qu’un autre Chahid, le colonel Lotfi, avait prédit aussi. Ils sont morts grands, propres et tranquilles dans leur repos éternel. Ils sont morts sans voir ce que ce petit rabatteur de hammam d’Oujda allait faire de leur pays ; l’Algérie. Ils s’en retournent dans leurs tombes.

Y-a-t-il enfin un Homme, une Femme qui oseront dire Non ! Stop ! Yekfina ?
A ce jour, rien d’essentiel n’a changé sauf l’arrivée massive d’une mafia régnante de camouflage, pressée et bien inquiète et agitée ces derniers temps. Parce que paniquée surtout à l’idée même de perdre ses immenses privilèges, ses prévarications et concussions diverses. Cette mafia craint surtout la prison et, pour certains, le peloton d’exécution pour hautes trahisons.

Et c’est cette panique de voyous pris depuis longtemps la main dans le sac, qui les porte à faire et à oser du n’importe quoi y compris à se servir d’un demi cadavre costumé, Bouteflika, pour tenter que coûte que coûte de maintenir son pouvoir, en fait le leur ; ad vitam aeternam. Quitte à exposer la nation, le peuple et la société algérienne au pire des dangers, à la pire des catastrophes humanitaires à nos portes. Cela juste pour préserver les intérêts personnels d’une bande de voyous, de fous et d’enragés prêts à mettre l’Algérie à feu et sang juste pour rester au pouvoir ? Juste pour ne pas aller en prison ? Juste pour que les $ieurs $aadani, $aïd et tous les autres n’aient pas à répondre à l’inévitable question qu’on leur posera forcément un jour ou l’autre : D’où vous viennent ces montagnes d’argent et ces biens, ici et à l’étranger ?
Le cheval devant la rivière et la femme nue dans votre lit… ?
C’est pourquoi, spontanément, j’ai vite adhéré à l’appel du général Antar sans l’avoir jamais connu, sans l’avoir jamais lu auparavant. Je découvrais l’appel d’un scientifique – Professeur de médecine – d’un humaniste et d’un patriote inquiet du devenir immédiat de son peuple. Ça m’a tout de même réconcilié avec la piètre opinion que j’avais des généraux régnants bien que connaissant de nombreux autres officiers supérieurs intègres, de talent et de cœur : des scientifiques, des poètes (Hocine Snouci) des experts (H. Benhadid) des physiciens, économistes, sociologues, juristes, pilotes, marins, radiologues, cardios, ophtalmos, etc… et bien d’autres que je ne pourrai tous citer ici. Je ne les citerai pas tous pour la petite raison que citant un ou dix j’en oublierai cent ; je ferai de ces oubliés de faux ennemis alors qu’ils sont tous mes amis. Vous le comprendrez.

Je découvrais donc et enfin l’existence d’un général instruit, serein, intelligent et surtout patriote. A la lecture de son appel, Il m’avait vite convaincu. Le ton n’y était ni martial, ni hargneux ni prétentieux du genre «Moi je ferai mieux !» Non, rien de cela ; il était plutôt plein d’assurance, serein et résolu. Un peu comme l’appel du 18 juin du général De Gaulle ! Oui, ça peut paraître excessif mais c’est la première impression qu’il m’a laissée. Que dit-il au juste?

Son message dit exactement ce que suggéraient mes exemples au tout début de mon intervention ; Demande –t- on l’avis d’un noyé pour le secourir ? Demande-t-on l’avis d’un enfant violé pour le sauver ? De même, dans l’urgence, on ne demandera pas par le formalisme des consultations électorales qu’on sait truquées d’avance, ce qu’il faudrait faire pendant les cinq ans à venir pour faire de l’Algérie, notre maman à tous, une terre commune prospère, un lieu partagé ; un grand motif de nous rassembler et de nous aimer.

Mais ce général dit et crie tranquillement, avec la force de ses trippes, avec la pertinence et la puissance de ses arguments, avec son cœur et sa tête aussi, il dit à peu près ceci (je paraphrase) : «Mes frères, mes sœurs, notre pays brûle, il se noie, il sombre. Il est en train de couler, là, sous nos yeux, pendant que nous attendons, impassibles et insouciants l’arrivée du 17 avril dont nous savons d’avance l’issue. Et de se révolter avec la clairvoyance et la perspicacité d’un vrai scientifique rappelant ceci : C’est bien un général félon tunisien, Ammar Rachid, révolté et rebelle à la dictature pourrie des Benali, épouse pétasse, frères et beaux frères corrompus, qui a mis fin à la dictature et au dictateur tunisien… !

Ce sont bien des officiers supérieurs et des 2ème classe portugais qui ont mis en marche la belle révolution portugaise des œillets ! C’est bien un général fasciste et raciste, le Caudillo, Franco, qui a instauré et imposé la démocratie en Espagne. C’est bien les marins du Potemkine, officiers et marins, qui ont déclenché la révolution soviétique prolétarienne !

Et ce sont bien des généraux coréens, des généraux chairmans, qui ont fait de leur pays, pauvre et sous développé, sans ressources et sans rien , une puissance économique (la 6ème du monde) une puissance financière (actuellement la 5ème du monde) une puissance technologique et d’innovations (actuellement la 1ère du monde) Au commencement, la Corée du Sud était à dix places derrière l’Algérie. L’Espagne à 5 places derrière derrière nous aussi. Et maintenant ? Nous sommes à la 132ème place, bien loin derrière la Corée du Sud, bien loin derrière la Malaisie, Singapour etc… Etc… Les Sud Coréens nous envoient des coopérants pour apprendre aux ingénieurs algériens à savoir tenir un tournevis ! A ces Algériens dont les pères et pairs formaient à Paris des ingénieurs français et coréens ! Et voilà ce que des vas-nus-pieds ont fait maintenant de notre pays : une risée ; une moquerie du monde entier ! Etait-ce le but initial des Bouteflika ? Si c’est oui, alors bravo ! C’est bien réussi. Le Maroc peut donc se réjouir d’avoir réduit la grande Algérie à moins que rien. Un non pays dans lequel aucun étranger n’osera s’y aventurer, sauf à venir prendre sa part du butin et y marchander et monnayer les consciences des hauts fonctionnaires véreux! Tout le prouve et l’atteste.
Et avec toutes ces catastrophes par lui provoquées, par lui inspirées, Bouteflika dort bien, mange bien et ose se montrer à la télévision ; même à moitié crevé et en pyjama ? Quel aplomb, quel culot, quel mépris pour ce peuple ! Tout de même ! Alors que nous sommes au bord de l’implosion et de la destruction de notre mère patrie. Pourquoi ? Parce ce que la mafia politique et les pègres régnantes associées en Algérie veulent exigent que ce système qui préserve et protège leurs intérêts dure et perdure. Pour se partager les 120 000 milliards que $ellal leur a mis sous la barbe. Les chiens ! N’y a-t-il pas une seule petite fibre patriotique chez un petit sergent, capitaine, commandant, colonel ou général pour dire, en Algérien de sang et d’honneur ; Non, non et non ! Arrêtons cette descente aux enfers ! Arrêtons ce massacre ! Arrêtons l’incendie ! Arrêtons ces criminels qui détruisent et pillent notre pays. C’est notre devoir de soldats propres et intègres de le faire. C’est notre devoir immédiat et urgent de le faire parce que l’Algérie de nos croyances, l’Algérie de nos ancêtres est en danger. Bouteflika ne possède aucun ancêtre, aucune racine, aucun lien connu avec notre Algérie.

Qui sont-ils ces fossoyeurs de l’Algérie, ces brigand ? Ils sont neuf, la première colonne du mal !

Il y a d’abord les 3 $ : $aïd Bouteflika, $ellal et $aadani : les trois plus dangereux comploteurs et corrupteurs permanents.

Les autres sont, dans le désordre :
Ahmed Gaïd Salah ; le plus vieux soldat du monde encore en service et précisent, les officiels Américains et Français (ambassadeurs) dans Wikileaks, le plus gros corrompu de l’ANP. Il n’a jamais démenti ou protesté à ce jour. Il se rend, tout de même, le cœur et le pied légers, aux Invalides en ignorant que le lieu a été créé par Louis XIV pour rendre un grand hommage aux grands soldats Français qui se sont sacrifiés, mutilés et invalides pour leur pays ; la France. Pas pour l’Algérie. Faut pas trop attendre d’un général inculte ; c’est un pléonasme.
Ouyahia ; les 2000 bus et la minoterie de Mactaâ Kheïra
Belkhadem ; Yamina et la Ch’hima
Benyounes ; le ciment, le médicament et les grosses affaires
Ghoul ; l’autoroute la plus chère et la plus accidentée du monde. Les noubas d’Alger
Medelci : gros handicapé et déficient en intelligence. Mais gros rusé pour se perpétuer au pouvoir.

Alors ici je dis et crie avec ce général que je ne connais pas, intervenez vite et arrêtez la folie de ces dévergondés régnants qui mettent leurs intérêts personnels et ceux de leurs progénitures au dessus de tout. Je ne suis ni félon ni militariste, mais je dirai toujours oui et merci à tous ceux qui se jettent dans la bataille pour défendre la mère patrie.
Parce qu’aujourd’hui comme le rappelle le général Antar il s’agit de cela et seulement de cela : défendre notre mère patrie des dangers que lui font subir les voyous qui squattent et pillent l’Etat et le Trésor public algérien.

L’Algérie attend son général Ammar Rachid, son commandant Carvalho, son Ali la pointe pour arrêter cette lugubre infamie faite à la nation tout entière.
Avions-nous eu besoin d’un référendum ou d’un vote pour déclencher le Premier Novembre 54 ? Avions-nous recouru à des élections pour combattre le terrorisme ?
Il y a des cas où on ne demande pas l’avis de l’autre pour oser faire du bien. On vous en saura gré.

Oui je vous ai parlé de cheval au bord de la rivière. Il ne faut jamais demander l’avis du cheval quand c’est sa première traversée. Très craintif, il ignore qu’il est un grand nageur aussi.

Et la femme amoureuse, consentante et nue dans votre lit, lui demandera-t-on son avis avant l’essentiel ? Non, jamais ! Elle croira qu’elle n’est pas assez belle pour vous ou que vous êtes impuissant !
Quand le Général De Gaulle a pris le pouvoir par la force, il n’a pas demandé l’avis des Français. C’était pour le bien et le salut de son pays. Maintenant, son peuple lui en sait gré et l’en remercie.

Quand l’armée algérienne a imposé Bouteflika une, deux et trois fois de suite a-t-elle demandé l’avis réel du peuple algérien ? En vrai, non. En apparence arrangée, oui ! Pourtant, dès son premier mandat, la bande à Boutef a vite montré ses faillites et ses intentions criminelles. 17 ministres d’une même wilaya ; Tlemcen ! Etait-ce vraiment pour aider et favoriser cette région ? Non, jamais puisque les populations de Tlemcen vivent dans les mêmes misères que celles des autres wilayate. Alors pourquoi cette ruse (encore une) de Tlemcéniens en surnombre dans le pouvoir ? Certes, il y a les effets différés de l’école du MALG mais il y a surtout la ruse au deuxième degré pour faire accroire l’idée que Bouteflika est un Algérien de Tlemcen. Ce qui est strictement faux. Bouteflika n’a aucun lien ni avec Tlemcen ni avec l’Algérie. Ses racines et sa tribu se trouvent toujours au Maroc ; à Oujda et Nador où vivent encore les membres de sa tribu. Ce rappel risque de déplaire aux biographes officiels de Fakhamatouhou. Comme quoi les miracles des Hammams et des canapés réservent bien des surprises pour transformer par la baïonnette magique, un petit rabatteur de hammam en Algérien, Tlemcénien et grand héros de la guerre de libération alors que toute l’Algérie sait, par le détail, (au travers des révélations du colonel Bencherif et du commandant Bensaâdoune) que l’homme, tout comme son mentor Boumediene, durant toute la durée de la lutte de libération nationale n’a jamais tiré une seule balle en terre algérienne. A peine une semaine de vacances avec des méchouis de gazelles au Mali.

Alors comment peut-on accepter un homme aussi atteint dans son lointain passé de voleur et d’aventurier, dans son proche passé de grand prédateur et de grand traître ayant tenté par deux fois de vendre le sous sol algériens aux Américains, ayant dilapidé et ruiné la riche Algérie, comment donc peut-on accepter cet individu, un apatride sans foi ni loi, sans réagir violemment, sans crier, ça suffit ! Barakate! Yekfina ! Si le peuple ne fait rien, si l’armée ne fait rien c’est que nous méritons bien, nous tous, notre vil et veule statut de cocus consentants. Or, ça n’a jamais été le sort misérable des fiers et dignes Algériens. Le nez d’abord, le cœur suivra, la tête aussi.

Mais attention mes frères et sœurs, caporaux et généraux, je ne réveille pas les Carvalho ou les Boudiaf dormant en chacun de nous pour rejeter et remettre l’Algérie mon amour entre les mains de nouveaux dictarions de rose habillés à la Sissi d’Egypte.

Je veux et j’exige comme trente millions d’Algériens adultes que les sergents ou généraux qui prendront de force ce pouvoir, feront ce que les généraux Sud Coréens ont fait de leur pays, ce que les communistes chinois ont fait de la Chine, ce que les libérateurs du grand Vietnam ont fait de leur patrie etc… Etc… Sinon et à défaut de quoi, laissons-nous mourir avec l’Algérie. C’est ce que j’ai retenu de l’appel du général Antar. Finalement, il nous reste encore des hommes ! Un scoop : le général tunisien Rachid Ammar ne peut plus sortir à Tunis. A chacune de ses sorties, des milliers de tunisois et tunisoises se bousculent, se piétinent pour le toucher, l’embrasser, se faire prendre en photo à ses côtés.

A chacune de ses sorties, Tunis est en ébullition. Alors, y a-t-il des candidats et des vocations algériennes pour un prochain Ammar Rachid Algérien ? Alors faites vite ! La maison Algérie brûle toujours. Mais attention, pas de Sissi ! Alors à bientôt pour le communiqué n° 1. Mais quel symbole floral s’offrir-t-on puisque la rose, l’œillet et le jasmin sont déjà pris ? La griffe de sorcière (symbole du pourtour méditerranéen) peut-être ? Alors amis lecteurs, cherchez la fleur que nous porterons en bandoulière le jour où notre beau et bien aimé pays sera nettoyé et libéré de la racaille qui le squatte.

A. M.

Lien pour lire la lettre du général M.Antar : Arrêtez la mascarade !