Dans une longue lettre le président-candidat Bouteflika s’adresse aux Algériens... Sans commentaires

Dans une longue lettre le président-candidat Bouteflika s’adresse aux Algériens... Sans commentaires

Le chef de l’Etat s’explique d’abord sur son état de santé : «Les difficultés liées à ma santé physique actuelle ne semblent pas me disqualifier à vos yeux ou plaider en faveur de ma décharge des lourdes responsabilités qui ont eu raison d’une bonne partie de mes capacités», a-t-il assuré.

"Vous tenez à ce que je voue mes dernières forces au parachèvement de la réalisation du programme pour lequel vous m’avez, à chaque fois, donné mandat», a-t-il ajouté.

Le chef de l’Etat a relevé que "c’est avec une grande émotion et un lourd sentiment de responsabilité» qu’il a reçu les appels qui lui ont été adressés par les citoyennes et citoyens, la société civile, les formations politiques, les organisations syndicales et les organisations de masse, l’exhortant à se porter candidat à la prochaine élection présidentielle.

"Animé que j’ai toujours été du respect du peuple algérien qui m’a accordé l’honneur et le privilège de le servir pendant trois mandats, je suis en devoir de répondre positivement, car je ne suis jamais, ma vie durant, dérobé à aucun devoir au service de ma patrie", a-t-il encore affirmé.

"Il me coûterait de rester sourd à vos appels. Aussi, ai-je décidé pour ne point vous décevoir, de me porter candidat à l’élection présidentielle du 17 avril 2014 et de mettre toute mon énergie au service de la concrétisation de vos vœux", a expliqué le président de la République.

Abdelaziz Bouteflika s’est par ailleurs engagé à réviser la Constitution en cas de réélection : "Si le peuple algérien souverain m’accorde, de nouveau sa confiance, je m’engage à créer les conditions politiques et institutionnelles, avec l’ensemble des acteurs représentant les différents segments de la société, permettant l’édification d’un modèle de gouvernance répondant aux attentes et espérances de notre peuple», a soutenu le chef de l’Etat. Cela se "concrétisera dans une révision de la Constitution qui sera menée dans le courant de cette année", a-t-il précisé.

Voici le texte intégral de la lettre d’Abdelaziz Bouteflika :

"Mesdames et messieurs, A présent que vous savez que je me suis porté candidat à la prochaine élection présidentielle, je me dois de vous faire part de toutes les raisons objectives et subjectives qui m’ont conduit à demander, de nouveau, votre précieuse confiance. Nul n’ignore que pendant la majeure partie de ma vie, je n’ai eu d’autre but que celui de servir, corps et âme, mon pays l’Algérie. J’ai fait de sa cause le but de ma vie et de ma mort et ma seule et unique raison d’être. Je l’ai vu pâtir des affres de lÆodieuse occupation coloniale, je l’ai vu résister, je l’ai vu rechercher les voies du salut, je l’ai vu rassembler ses maigres forces et son immense détermination pour engager son combat libérateur et arracher, enfin, son éclatante victoire, au prix du plus lourd tribut. Je suis fier d’avoir consenti à contribuer de mon sang, voire de ma vie, à ce combat, mais le sort a décidé que je survive et bénéficie de l’insigne honneur de poursuivre mon parcours au service de mon pays définitivement affranchi du joug colonial. Depuis, je n’ai cessé de voir l’Algérie progressivement se développer et s’épanouir. Je l’ai vue se métamorphoser et avancer d’un pas assuré vers la place qui lui revient dans le concert des nations. J’ai partagé ses bonheurs et ses succès comme j’ai partagé ses souffrances et ses échecs. Ma longue carrière à son service m’a permis d’accumuler une expérience que je ne pus refuser de mettre à sa disposition, à la tête de l’Etat, depuis 1999 à ce jour. Je peux me permettre d’être légitimement fier d’avoir eu la faveur divine de contribuer à l’arrêt de l’effusion du sang des Algériens, à la promulgation et à la mise en oeuvre de la loi relative à la Concorde civile, suivie de la Charte pour la paix et la Réconciliation nationale. Ces accomplissements ne pouvaient se réaliser sans la volonté agissante du peuple algérien tout entier qui a approuvé et soutenu ce programme salutaire de restauration de la cohésion nationale et de la stabilité du pays. Grâce au retour de la paix et au règlement de la dette extérieure sou laquelle ployait notre peuple jusqu’à rompre dans d’indicibles souffrances, il a été possible de lancer et réaliser des plans de développement multisectoriels à travers l’ensemble du territoire national. Cela a permis au plus grand nombre de citoyens de jouir de meilleures conditions de vie qu’auparavant. Les réformes de tous ordres ont, pour leur part, contribué à assurer à notre pays les conditions de nature à renforcer les assises d’une démocratie pluraliste réelle, et d’une plus grande justice sociale à travers une répartition équitable des fruits du développement, la création d’emplois pour la jeunesse, la réalisation de programmes de logements au profit des familles ayant longtemps pâti de l’habitat précaire, le développement considérable des infrastructures hospitalières et le renforcement des secteurs de l’éducation nationale et de l’enseignement supérieur. En retrouvant sa place légitime dans le concert des nations, notre pays est parvenu à renforcer et diversifier ses relations internationales et a contribué, dans la mesure de ses possibilités, à la consolidation de la paix et de la sécurité dans le monde. Mesdames et Messieurs, Les bilans de mes mandats présidentiels successifs ont, à chaque fois, corroboré le bien-fondé des suffrages de confiance dont les Algériennes et les Algériens m’ont, dans leur majorité, honoré, mais ils n’autorisent nullement l’autosatisfaction. Il reste tant et tant à faire pour assurer à l’ensemble des catégories sociales de notre pays leur emploi, leur sécurité, leur environnement, leur santé et l’avenir de leurs enfants. La marche largement entamée vers le progrès n’aboutira qu’au prix d’effort accrus, soutenus et consciencieusement consentis par toute la nation solidaire et unie. Une autre Algérie est née, elle se développera et prospèrera davantage si le cours de sa marche ne vient pas à être interrompu, si ses forces vives s’engagent à y investir, avec détermination et persévérance, une citoyenneté loyalement exercée, des compétences mieux affectées, une générosité sincèrement assumée, une vigilance, une volonté profonde de mieux faire et le désir agissant d’atteindre les sommets. Le changement que notre société a appelé de ses voeux sous ma conduite est en marche. Le processus de réforme en cours, une fois parvenu à son terme, en fera une réalité, lui donnera pleinement son sens, le consolidera par une plus grande harmonie institutionnelle, une cohérence accrue de l’action publique et l’édiction de nouvelles priorités bien ordonnées, rompant avec les pratiques qui se sont avérées inopérantes. Vous êtes nombreux à vouloir que je continue à conduire l’oeuvre de redressement national qui a permis d’importantes avancées depuis que j’ai pris en charge les destinées de notre pays, en 1999. Les difficultés liées à ma santé physique actuelle ne semblent pas me disqualifier à vos yeux ou plaider en faveur de ma décharge des lourdes responsabilités qui ont eu raison d’une bonne partie de mes capacités. Vous tenez à ce que je voue mes dernières forces au parachèvement de la réalisation du programme pour lequel vous m’avez, à chaque fois, donné mandat. C’est avec une grande émotion et un lourd sentiment de responsabilité que j’ai reçu les appels qui m’ont été adressés par les citoyennes et les citoyens, la société civile, les formations politiques, les organisations syndicales et les organisations de masse, m’exhortant à me porter candidat à la prochaine élection présidentielle. Animé que j’ai toujours été du respect du peuple algérien qui m’a accordé l’honneur et le privilège de le servir pendant trois mandat, je suis en devoir de répondre positivement, car je ne me suis jamais, ma vie durant, dérobé à aucun devoir au service de ma patrie. Il me coûterait de rester sourd à vos appels. Aussi, ai-je décidé, pour ne point vous décevoir, de me porter candidat à l’élection présidentielle du 17 avril 2014 et de mettre toute mon énergie au service de la concrétisation de vos voeux. Dans le contexte géopolitique qui entour notre pays, je n’ai d’autre ambition que celle de le préserver des nuisances et des menaces qui peuvent compromettre le parachèvement de son développement global. Je le ferai avec toute la force de ma piété patriotique et de ma fidélité aux valeurs et aux idéaux de la glorieuse Révolution du 1er Novembre 1954. Mesdames et Messieurs, Je me propose de consacrer le nouveau mandat que vous me demandez d’assumer à la préservation de notre pays des effets des hostilités internes et externes avérées et potentielles de toutes natures et à l’apaisement de notre société qui a besoin de voir rassemblées ses énergies pour la réalisation de nouvelles conquêtes, loin des rivalités stériles et des déchirements ravageurs. Les divisions suscitées et entretenues constituent un moyen d’affaiblir notre pays face à l’urgence des défis et à la complexité des enjeux. Notre société n’a que faire des idéologies passéistes et antinomiques avec le progrès. J’attends que chacun de vous apporte sa part dans la mutation que nous avons à opérer ensemble au prix d’efforts équitablement répartie. Aux égoïsmes de tous genres qui corrodent les liens du vivre ensemble, nous opposerons un projet de société basée sur la mutualisation et le partage. Le meilleur atout pour réussir le changement, c’est la rupture avec la tare de l’insatiabilité matérielle, c’est la franche mobilisation collective pour gagner, au profit de notre pays, tous les motifs de sa fierté légitime aux yeux du monde. Tout en acceptant de répondre à cet honneur qui m’est fait, je suis déterminé à créer les conditions de la consolidation du développement économique et social et d’un renouveau politique consensuel avec l’ensemble des acteurs politiques, pour que chaque algérien sente et perçoive, dans son quotidien, que la vie démocratique de la Nation est réelle et palpable, avec la consécration des droits de l’homme dans toutes les sphères d’activités, avec la prépondérance accordée aux équilibres des pouvoirs pour permettre aux différentes institutions d’agir en permanence dans le respect de l’Etat de droit. Les efforts déployés, jusque-là, doivent, avec la contribution de tous les acteurs politiques nationaux, permettre de bâtir un édifice institutionnel renouvelé, adapté aux attentes de l’Algérie d’aujourd’hui. Je m’engage de nouveau, au service de la patrie, conscient des responsabilités que cette charge publique implique, car j’ai la conviction que l’expérience des affaires de l’Etat, que j’ai eu la chance d’avoir acquise, doit être mise au service de l’Algérie. Si le peuple Algérien souverain m’accorde, de nouveau, sa confiance, je m’engage à créer les conditions politiques et institutionnelles, avec l’ensemble des acteurs représentant les différents segments de la société, permettant l’édification d’un modèle de gouvernance répondant aux attentes et espérances de notre peuple. Elle se concrétisera dans une révision de la Constitution qui sera menée dans le courant de cette année. Cette démarche répondra aux aspirations de la jeunesse à prendre le relais, dans un environnement marqué par la stabilité, la justice sociale, l’équité et le respect dû à chaque citoyenne et citoyen de notre Algérie. Mesdames et Messieurs, L’élection présidentielle prochaine, de part le choix judicieusement réfléchi que vous ferez librement, va être le point de départ d’une dynamique de changement vers une société nouvelle indemne de toute les pratiques et comportements nuisibles. Ma candidature que vous avez réclamée s’inscrira exclusivement dans le sens de l’intérêt général. Elle se situera à l’opposé des rivalités personnelles ou partisanes, elle se veut un acte d’abnégation renouvelé au service de tous les Algériens, sans discrimination aucune. Je ne suis animé que de la seule volonté de conduire l’effort collectif de tous les Algériennes et Algériens dans la poursuite de l’immense chantier de construction de l’Algérie nouvelle résolument tournée vers un avenir radieux. Pour faire face aux exigences de ce chantier, je sollicite le soutien de toutes celles et de tous ceux qui n’acceptent pas que notre pays ne puisse pas encore prendre son plein essor vers le progrès et la prospérité. J’en appelle à celles et ceux qui savent qu’on ne peut plus s’exonérer de l’obligation de mettre la rigueur et le sérieux dans tout ce que nous entreprenons. J’en appelle à celle et à ceux qui refusent de s’abandonner à l’impéritie et à la paresse. A à la veille de l’important rendez-vous du 17 avril prochain, je laisse à chaque Algérienne et chaque Algérien le soin d’évaluer en toute âme et conscience, le chemin parcouru et les acquis enregistrés. Mon voeu est que la compétition électorale entre les candidats se déroule de manière loyale et sereine, à travers un débat d’idées et une confrontation de programme qui permettront aux électeurs de bien choisir. J’appelle les Algériennes et les Algériens à accorder à cet événement toute l’importance qu’il mérite, car la décision leur revient en premier et dernier ressorts et il s’agit d’une décision qui engage leur avenir, celui de leurs enfants et celui du pays tout entier. J’ai grand espoir que la prochaine élection présidentielle soit une preuve éclatante par laquelle les enfants de ce pays feront leur choix, l’exprimeront avec la même détermination, le même engagement et le même esprit qui ont déterminé les Algériennes et les Algériens, en juillet 1962, à investir massivement les bureaux de vote pour exercer leur droit à l’autodétermination, et affirmeront, ce faisant, que le moment est, aujourd’hui aussi, un moment décisif. Je suis convaincu que, grâce à leur maturité et à leur clairvoyance, les électrices et les électeurs sauront discerner les vraies des fausses promesses, le vrai du faux dévouement, l’engagement concrètement prouvé au service de la patrie de la gesticulation de façade tendant à leurrer le peuple qui, en définitive, choisira souverainement le président et le programme qui lui conviennent. Rassemblons-nous, mobilisons-nous pour changer, toujours en mieux, notre présent et construire notre avenir et celui de nos générations futures. Ensemble, décidons du pays que nous voulons, le pays où il fera bon vivre. Ensemble, bâtissons le pays rêvé par les glorieux martyrs de la Révolution de Novembre. Ensemble, bâtissons l’Algérie nouvelle. En ce moment où nous célébrons la Fête de la victoire, je ne conclurai pas mon propos sans saluer la mémoire de nos valeureux martyrs ainsi que celle de tous ceux qui ont, depuis le Jour de la victoire, sacrifié leurs vies pour la Patrie.»

(Source : APS)

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Commentaires (20) | Réagir ?

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Walid Sdak

Monsieur le candidat,

J'ai lu votre lettre en diagonale (je n’ai pas beaucoup de temps pour vous lire). J'ai cru deviner à chaque phrase lue, celle qui suivait, votre lettre mérite vraiment d'être survolée, et même en la survolant, on sent, le mensonge, l'hypocrisie et la trahison de l'Algérie. Ce pays, mon pays que j’aime tant. Les questions que je me suis posées sont les suivantes : Celui qui vous a rédigé la lettre croit-il vraiment tout ce qu'il a écrit ? Vous l'a-t-il lue ? Savez-vous en moins qu'une lettre a été écrite et adressée aux Algériens, en votre nom ? Je ne crois pas.

Pendant votre règne, je suis arrivé à la conclusion suivante : la malédiction de l'Algérie se résume en 2 points : le pétrole et Abdelaziz Bouteflika. Car Sa Majesté le Roi, pendant votre règne, le pays a sombré dans la corruption la plus infamante, la cupidité des pourris a atteint des degrés inégalables. Vous avez érigé la corruption comme seul mécanisme de distribution des richesses.

Et ça, vous semblez l’ignorer.

Sous votre ère, on a vu surgir une couche de petits voyous (qui ne sont d’ailleurs pas blâmables) décidant sur la place publique de la parité monétaire de notre sale monnaie (sale au sens propre et au sens figuré : chercher l’erreur) et qui court-circuite le réseau bancaire national. Normal (comme aiment à dire les Algériens). Et cela ne semble choquer personne !

En voulant restaurer la paix, vous avez indemnisé des criminels, des éventreurs de femmes enceintes, de tueurs d'enfants et de vieillards, et en plus vous leur avez donné une protection légale qui leur a permis d'être au-dessus des autres citoyens et au dessus-même des lois. Vous avez acheté la paix, mais une fausse paix.

Vous vous êtes fait entourer d’une pègre sans état d’âme, des rapaces sans vergogne. Vous avez vidé la justice de son sens au point où des juges assermentés sont devenus (heureusement pas tous) des raquetteurs et maîtres chanteurs qui n’hésitent pas à demander de l’argent pour que le citoyen ait son droit. C’est une réalité, je parle en connaissance de cause. Vous avez délabré le système de santé, il n’y a plus de santé publique digne de ce nom. Nos médecins sont méprisés. Vous avez aggravé l’échec de l’école. Le fait qu’un enfant ne soit pas scolarisé est devenu chose banale ; des dizaines de milliers d’enfants ne vont pas à l’école. Ça, c’est tout simplement le plus grand des crimes. Vous avez accéléré la fuite des cadres, qui sont allés se vendre pour une bouchée de pain un peu partout dans le monde (j’en fais partie). Est-ce qu’une fois dans votre vie vous avez fait appel à cette matière grise. Non ! Ne dites pas que vous aimez l’Algérie monsieur.

La jeunesse algérienne, première richesse du pays rêve d’un « ailleurs meilleur » et se jette à l’eau au péril de sa vie pour fuir le désespoir créé par votre règne.

L’Algérie et les Algériens se sont sacrifiés pour faire reculer les velléités dictatoriales, en inscrivant dans la constitution l’alternance après deux mandats présidentiels et vous, vous en avez fait table rase en violant la constitution et en vous proclamant monarque (à peine déguisé). C’est aussi un crime. Maintenant vous nous promettez de la « violer » encore. Pourquoi ? Pour créer la poste de vice-président ? Le jeu est connu d’avance, tout comme votre élection d’office à la présidence (ainsi vous l’avez décidé : à vie). Doutez-vous une seule seconde de votre succès ? La réponse est non. Pour cela, je salue la clairvoyance de tous ceux qui se sont retirés de cette course absurde.

Monsieur,

Vous ne pouvez pas vous targuer d’un bilan positif, votre bilan est noir sur tous les plans et tous ceux qui sont derrière vous (pour perpétuer la mascarade), ce sont ceux que vous avez arrosés d’une façon directe ou indirecte ou qui sont impliqués dans les affaires scabreuses, qui ont profité de la manne pétrolière, dilapidée dans des projets coûtant jusqu’à 4 fois leurs valeurs. Ces gens iront voter et voteront pour vous, mais ça ne sera pas la majorité des Algériens, car la majorité des Algériens n’est pas dupe, et vous dit stop, BARAKET. Ecoutez-les et faîtes l’effort de vous extirper de cette cavalcade pour ainsi garder un minimum de dignité. Ne soyez pas la honte, la risée de vous-même et de l’Algérie entière. C’est une question d’honneur. Vous êtes entrain d’écrire la dernière page de votre histoire, alors faites en sorte que cette histoire se termine plutôt bien, allez vous reposer et croyez moi ça vaudra mieux que de mourir président. Il y a des Hommes en Algérie et il y en a beaucoup qui aiment leur pays et sont prêts à se sacrifier pour la redresser, je ne parle pas de ces lièvres qui pour moi sont une espèce de marionnettes qui n’ont rien compris au fonctionnement de l’Algérie et qui ne font qu’accréditer le fantasme d’une nation se voulant être démocratique alors qu’il n’en est rien.

Monsieur,

Encore une fois : Partez et emmener votre grande famille avec vous. Laisser l’Algérie progresser et demander pardon à Allah, lui seul pourra vous pardonner. Personnellement, je ne crois pas avoir la force de le faire. Ni aujourd’hui, ni un autre jour !

Vive l’Algérie libre et démocratique

W. S

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Nacer Abane

Merci monsieur le président d'avoir accepté de vous représenter de nouveau comme TOUT le peuple algérien vous le demande ! Que Dieu vous prête vie éternelle afin que vous protégiez notre beau pays jusqu'à la fin des temps ! Nous remercions aussi vos compagnons honnêtes, intègres et désintéressés que sont Sellal, Ouyahia, Saidani, Belkhadem, Belloumi, Khaled et tous les employés de l'ENTV !

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