Le Président du Parti de l’union pour la démocratie et les libertés « UDL » est réuni le mercredi 15 janvier 2014 avec son encadrement politique, lors d’une visite à Guelma pour le renouvellement les membres du bureau des wilayas de l’est du pays. Mr Gourine M’hamed ; a expliqué aux membres présents la position de son parti sur le point organique, et aussi a commenté la scène politique actuelle de notre pays. Il a déclaré ce qui suit en résumé ;

À titre d’information on vous rappelle que notre parti est agrée depuis 1989, classé le 4é suivant le numéro d’ordre, après la création du multipartisme en Algérie, il a participé aux élections passives, il a eu des élus aux APS et à l’APN. Et aussi l'UDL il était du côté du Président Abdelaziz Bouteflika en 2004, et il a rentré dans liste de soutien le programme de son excellence devant la commission nationale indépendante pour surveiller les élections présidentielles, ainsi a participé aux élections partielles en 2005 sur la région de la Grande Kabylie.

Et aujourd’hui la question se pose d’une vue logique : comment en considère ce Parti qui a participé dans deux événements nationaux, après son 2é congrès national du 2003 à Tipaza. Et après deux ans en 2006 la direction des partis politiques vient de le bloquer pour une raison non convaincante et sans aucun écrit officiel pour le justifier s’il est nécessaire ?

On vous informe, au cours de l’activité de notre mandat du 2e congrès 2003 aux 2004 un changement de l’ex-président du Parti le défunt Ouaar Abdelkader a été disqualifié en conformité avec des articles de notre statut et le règlement intérieur, par une majorité des membres du bureau nationale, suivi par un conseil extraordinaire qui a été déroulé les 23 et 24 décembre 2004. Et ensuite conformément aux procédures on a établi un dossier complet du conseil extraordinaire été déposé par la voie d’un l’huissier de justice le 28 décembre 2004 au niveau du ministère de l’intérieur devant le bureau du défunt Akkrouf : directeur de la direction des associations politiques et apolitiques.

Dans la durée du mandat du 2é congrès national de l’UDL, et dans l’année 2006 le ministère il vient de bloquer notre activité organique devant les DRAG des wilayas et confirmer dans la période du retrait du dossier pour participer aux élections de l’APN 2007. Le ministère nous a interdit de participer aux élections parlementaires de 2007. On est surpris par cette annonce d’un procès contourné par un groupe fondateur et membres de bureau national contre le 2é congrès et l’ex-président. Ce groupe est déjà démissionné du parti en 2002, par la voie d’un communiqué de presse publié au journal le matin. Ce qui signifié qu’ils ont trompé la justice et l’administration en raison de l’absence de ce document sur le dossier, car l’ex-président n’a pas saisi la justice que ce groupe ne représente pas le parti et ils n’ont pas le droit de soulever cette affaire judiciaire. L’administration du ministère de l’intérieur a pris en considération cette affaire à laquelle les nouveaux dirigeants se trouvent en face d'une affaire compliquée. Ce groupe était disparu depuis 2002, donc les nouveaux dirigeants ne sont pas concernés. Ce groupe est venu après une longue absence et après le changement de l’ex-président et ils sont réintégrés par le nouveau président dans leurs postes dans l’année 2006 avec la preuve et ils ont assisté avec nous à des réunions du bureau national, normalement le ministère l’on ne prend pas en charge.

Notre Parti il est en continuité de contacte avec la direction des partis politiques pour ce problème organique et espérant qu’on va le régler avant l'élection présidentielle 2014. Le parti est agréé et rien ne nous arrête de faire la politique, comme il nous permette de donner notre avis à travers les médias nationaux et internationaux sur la scène politique.

En ce qui concerne les élections présidentielles avril 2014, pour l’instant notre parti soutient une personnalité nationale propre des mains et qui n’a pas gouverné auparavant, et si Monsieur Sellal est proposé, l’UDL se prépare à la campagne électorale sur la base de son travail effectué sur le terrain depuis sa prise en fonction le poste du Premier ministre.

A la fin de ce communiqué - le pouvoir de notre pays il est dans l’obligation de déclarer devant le monde que légitimités reviennent aux peuples et non par la fraude et les coups d'État. Comme ça peut justifier la crédibilité d’un système.

Le Bureau National

Le Président

M. Gourine