12h00 : La marche n’a pas eu lieu.
Prévue à 11h, la marche n’a pas eu lieu.
Said Sadi et Ali Yahia Abdenour quittent la Place des Martyrs. La tentative de marche de la nouvelle CNCD est avortée.
La place des martyrs est toujours occupée par le police. Les membres de la CNCD et les quelques militants restés sur place se sont dispersés.
Le dispositif pour bloquer cette troisième manifestation en un mois en faveur du changement politique en Algérie était moindre cette fois-ci face à une opposition divisée, comme le signale l'AFP.
Le périmètre de la Place des Martyrs était néanmoins quadrillé par les forces de l'ordre et des véhicules blindés. Tous les accès piétons ont été bouclés par des centaines de policiers, dotés de casques et de boucliers, pour empêcher tout rassemblement.
Au dessus du centre de la capitale, un hélicoptère tournoyait depuis le début de la matinée.
La manifestation devait partir de la Place des Martyrs en direction de celle du 1er Mai, à quelque 4 km de là, comme pour les manifestations avortées des 12 et 19 février derniers, mais avec un itinéraire inversé.
Les autorités algériennes ont levé jeudi comme promis l'état d'urgence décrété il y a 19 ans et l'opposition s'est divisée cette semaine: le camp de la société civile et des syndicats autonomes de la CNCD n'était pas présent samedi alors que Sadi et ses partisans veulent continuer à manifester tous les samedis.
Commentaires (15) | Réagir ?
Je n’ai pas de villa en Espagne, ni encore a club des pins. De plus, je n’ai pas de garde corps ni de voiture blindée, comme tous les citoyens algérien. De plus, je n’ai pas négocié le boycott scolaire des milliers d’enfants de notre chère kabyle pour participer aux élections présidentielles de 1995, dont le seul souci était d’avoir des milliards de dinars et de légitimer un régime et une élection en manque de crédibilités. Je n’ai pas aussi appelé au boycott de la dernière fraude du siècle (élections présidentielle de 1999), pour enfin entrer et composer avec le gouvernement issu de la ‘’dernière fraude du siècle’’. Je n’ai jamais eu la chance que WikiLeaks parle de moi. C’est important de signaler que je n’ai jamais rencontré le général Toufik pour une quelconque raison. Je ne suis pas député dont le seul et unique souci est d’avoir un salaire faramineux et pour des affaires…Sachant qu’un député ou les députés tels qu’ils sont ne peuvent absolument rien faire, sauf de légitimer un pouvoir en manque de crédibilité. Le bilan est encore long… Je suis simplement heureux et fière par le fait que je n’ai jamais passé à côté d’un événement politique en Algérie. L’histoire a déjà tranché que le système et ses acolytes disparaîtront de notre Algérie.
le premier act pour le changement est la desolution des parties pseudodemocratiques qui empechent la mobilisations des modernistes et democrates algeriens. Il faut rapeler que le RCD a participer a legitimer les elections de 92 et du front antinational le FIS. alors que monsieur saadi arrete de parasiter la lute pour la democratie. rappel saadi etait l'individue qui a reduit les espoire de la fameuse marche du 10 mai. Sadi etait la personnalite des combatut le comite contre la torture en 88 a luniversite de tizi.
sadi degage