Surveillance d'Internet au Maghreb: l'affreux exemple Tunisien

Blogs, réseaux sociaux, forums de discussion... Dans les pays du Maghreb, ces outils de communication, qui ont surgi ces dernières années dans le sillage d'Internet et du téléphone mobile, inquiètent les pouvoirs.

Synonymes à leurs yeux d'une menace diffuse, impalpable et donc difficile à contrôler, ils font figure de suspects. Ne sont-ils pas porteurs à l'occasion d'une contestation radicale ? Grâce à la création quasi instantanée de réseaux informels, ne vont-ils pas prospérer et occuper la place des partis politiques traditionnels à l'agonie de Tunis à Rabat en passant par Alger ? La riposte est à la mesure de la perception de la menace. L’Observatoire pour la Liberté de presse, d’édition et de création (l’OLPEC) en Tunisie a publié un rapport sur les pratiques des autorités pour surveiller le trafic, lire les mails et censurer les sites qui ne leur conviennent pas. Un rapport édifiant. L’Algérie prend exemple sur la Tunisie et a commencé à mettre en place à l’été 2009 les mêmes techniques.

Lire le rapport de l’OLPEC en PDF

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Commentaires (34) | Réagir ?

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NOUNOU

moi j'etais choqué a ma visite en Tunisie, Tunis, dans un espace internet le proprietaire m'avait demandé mon passeport et il y'avait des cameras de surveillance !!!j'ai riencompris

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Elie

Que c'est amusant!

Un internaute: ça lit, ça se documente, ça apprend et bien, c'est un criminel.

Des personnes sans niveau baccalauréat tel Imed Trabelsi ça se promène en Hummer, Bentley etc.. et ça devient gouverneur de la Goulette.

Quel paradoxe! La Tunisie me manque, la Goulette surtout, ou on était juifs tunisiens et tunisiens musulmans amis, heureux en paix.

Ils ont foutu ce pays en l'air ces voyous; mazeltov aux Trabelsi, Mabrouk, Chiboub et compagnie qui prouvent que etre con c'est mieux que d'etre cultivé pour réussir économiquement!

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