“Bouteflika mérite un prix Nobel de l’escroquerie électorale”. Il a révélé que ZEROuni aurait déjà donné ordre de détruire le fichier électoral au niveau local à l’effet de “ne laisser aucune trace de la fraude”. Enfin, sur la réaction de Washington, une position qui tranche avec celle dithyrambique de Sarkozy, accusé de complicité avec le régime, il estime que ces chiffres suscitent naturellement “questionnements, doute et prudence”.

@arezky

D'après ma grand mère, juste avant l'indépendance, les mêmes qui faisaient un bras d'honneur à ma famille car mon pere et mon grand père étaient en prison pour association de malfaiteurs, ces même personnes ont été les première à prendre la bannière et à la brandir dans les rue pour se faire remarquer. Quelques semaines plutôt, ils disaient à ma grand mére ceci " Baryn elhouria, voilà, disaient-elles en brandissant un bras d'honneur"

" Vous voulez l'indépendance, voila ce que vous allez avoir, disaient'elles en brandissant un bras d'honneur.

Puis quand l'OAS est venu mettre les charges de plastic dans la maison du chef fellaga, c'est à dire mon pere et mon grand pere, quand les murs sont tombés, ces même personnes n'ont pas voulu accueillir pendant quelques heures ma famille, en attendant la fin du couvre feu. Alors ma famille était obligé de rester et de subir la deuxieme déflagration où deux personnes ont décédé.

Ce sont ces gens là qui ont refusé asile entre 4 heure du matin et 6 heure du matin à ma famille et qui dressaient un bras d'honneurs aux familles des combattants, qui étaient les premières à sortir avec le drapeau dans les rues. Puis à 6 heure du matin, la population est sortie, dégouté par les attentats de l'OAS, a marché jusqu'au centre ville. C'était le mois d'avril 1962, le 13 avril exactement car j'ai gardé les document du sinistre dû au double attentat. Mes parents et grands parent n'ont rien dit, n'ont dénoncé personnes, même pas les familles des harkis et dont les femmes sont venu baiser les pieds de mon pere por demander grâce. Mon père les a relaché après que lui meme fut relaché. Il les avait réunis tous, puis ils n'ont pas été executés car les familles venaient implorer en tombant par terre et en baisant les pieds de mon pere. Enfin j'ai des details horrible raconté par ma familles. Ces meme personnes qui ont refusé l'asile à ma famille et pour se faire pardonner, sont parti tuer et récoler des crânes comme des trophé et ont dit à ma mere voila un cadeau de nos ennemis qui ont attenté à votre vie en plastiquant votre maison. Le trophé était un bout de crâne et il pensaient que les blessés et survivant, au lieu de se soigner par une thérapie post-tromatique, les crâne de ceux qu'ils sont parti assassiner le lendemain de l'independance après leur avoir leché les botte jusqu'au... allaient les racheter aux yeux des vrais maquisards et combattant légitimes. C'est dommage qu'il ne reste aucun survivant dans ma famille pour m'en dire plus. Quand je demandais à ma mere et à ma grand de me parler des pieds noirs, elles me disaient d'arreter car à force d'en parler, tu vas finir par les faire revenir.