La fin de parcours du brave Soldat Schweick !
"On achève bien les chevaux", dit l’adage, et partant, le sort du général Major Gaid Salah, le brave soldat Schweick du clan, semble être scellé par les décideurs de l’ombre.
Ces puissants oligarques que la corruption, la compromission, le népotisme, le hasard et la bêtise des Bouteflika a cooptés, et qui se sont engraissés trois quinquennats durant sur le dos de l’Etat et du peuple, se font gros-bras pour le faire tomber de son piédestal de vice-ministre de La Défense et chef d’Etat-major de l’Armée Nationale populaire, pour semble-t-il, une incompatibilité d’humeur avec le Raspoutine algérien du sérail présidentiel, le bien-aimé du petit peuple, le nommé Said Bouteflika.
Après avoir été une marche sur laquelle ces tristes sires se sont appuyés pour dégommer les personnalités civiles et militaires, les plus en vue leur posant problème, parce que patriotes avant tout, ne voilà-t-il pas que ces ingrats nouveaux riches fassent la mue de la marche en serpillière, pour pouvoir la jeter en toute quiétude dans la poubelle de l’histoire. Les gorges se font chaudes dans les taxis et les salons de coiffures quant aux luttes intestines qui font rage en hauts-lieux pour trouver l’homme du consensus.
Qui de Chakib Khelil, Ahmed Ouyahia ou d’un quelconque quidam gagnera le jackpot de l’infamie, de l’à-plat-ventrisme et de la soumission ?
L’énigme reste entière, dans la mesure, où les derniers "Janvieristes" de l’ANP ne sont plus aux affaires pour leur faire "suspendre" l’épée de Damocles qu’est la Cour pénale internationale et leur faire chanter la voix du maître, la nouvelle génération des chefs militaires, forts des expériences vécues et passées de leurs aînés saura-t-elle faire entendre sa voix et tirer ses marrons du feu qui ronge les coulisses des hauts lieux, par patriotisme, par amour de la plèbe, dont elle est issue et fausser les calculs et les intrigues des officines secrètes qui entendent faire main basse, par proxy, sur le pays ,sa souveraineté et ses richesses.
Le dernier rempart qu’est notre Armée nationale populaire, sans nul doute, constituera une embûche de taille à tous les aventuriers politiques quémandeurs des grâces de l’Elysée et d’une maison qui se voulait blanche, souillée depuis des décennies par tant de crimes contre l’humanité. Vigilance ! Vigilance ! Notre pays est dans l’oeil du cyclone désormais...
Brahim Ferhat
Commentaires (25) | Réagir ?
L'armée ne peut pas sortir tant que le peuple ne lui aura pas ouvert la voie. Le peuple doit montrer que le fruit est mure, sans cela aucun officier supérieur ne se harsardera a donner l'ordre à ses troupes d' arrêter Said.
qui au lieu de proposer des solutions, de sortie de crise, les moyens de mettre hors d etat de nuire cette vermine qui nous bousille notre present et notre avenire, certains hypocrites, racistes se focalisent, encore et toujours sur leur seid, mr. rebrabe qui les nourrit et leurs donne du travail. notre pays ne se relevera pas, tant que ces racistes, vivront sur cette terre.
Rabrab hier été l'arroseur aujourd'hui il devient l'arroser.