Hommage au professeur Mohamed Arkoun à At Yenni

Mohamed Arkoun, islamologue et penseur
Mohamed Arkoun, islamologue et penseur

L'espace culturel Mouloud Mammeri d'At Yanni, abritera, samedi, 19 septembre 2015, une conférence en hommage au professeur Mohamed Arkoun, organisée par l'association culturelle Talwit d'At Yanni.

"La vie et l'œuvre du penseur", tel est le thème de la conférence qui sera donnée à partir de 10h par les professeurs de l'université de Guelma, Hocine Ali et Belhasseb Messaoud, à la grande salle de l'espace culturel.

Mohamed Arkoun est né en 1928 à Taourirt-Mimoun dans la commune d'At Yanni et il est décédé le 14 septembre 2010 à Paris et inhumé trois jours plus tard, à Casablanca. C'est un intellectuel, historien de l'islam et philosophe.

La conférence aura samedi 19 septembre à l'Espace culturel Mouloud Mammeri à At Yenni (Kabylie).

Plus d'articles de : Communiqués

Commentaires (2) | Réagir ?

avatar
gestion

MERCI

avatar
Bachir Ariouat

Je salue la mémoire, d'un homme d'une culture que peu homme de notre pays, où pas du tout ont atteint, un homme humble et simple, que peu d'illettrés de notre pays ne reconnaissent pas, naturellement je pense aux hommes orgueilleux et imbus de leur personnalité, qui se prétendent être des dirigeants d'un pays de notre pays.

Dans chaque villages et villes de l'Algérie cet homme devrait avoir un boulevard une avenue, un place à son nom.

Il ne doit pas seulement être honoré dans son village natal, mais dans toute l'Algérie, sinon dans toute la Kabylie.

J'ai dis que c'est un homme d'une grande culture, et il est reconnu comme tel par les plus grands hommes à travers le monde, sauf dans son pays.

C'est dans genre de situation que l'on voit que notre pays est dirigé depuis des lustres par des hommes qui ont un niveau de culture plus bas que celle d'un âne.

C'est avec des homme lui quand ré-hausse le prestige et la reconnaissance d'un pays de son peuple, c'est pas avec les orgueilleux qui cours après les billets des banques, comme ceux que nous avons à la tête de notre pays.

Une nouvelle fois, je salue sa mémoire et je m'incline devant sa mémoire, là où il est que dieu le béni et l'accueil dans son domaine.