Barakat l’injustice, Barakat l’instrumentalisation

Le Mouvement Barakat dénonce le mépris des autorités envers les habitants d'In Salah.
Le Mouvement Barakat dénonce le mépris des autorités envers les habitants d'In Salah.

Le Mouvement Barakat réagit à ce qui se passe à In Salah et l'instrumentalisation de la justice par le clan au pouvoir.

Devant la passivité insoutenable du régime et le silence consternant et complice du pouvoir qui tient en otage tout un pays sous le joug des décisions irréfléchies et hasardeuses, le mouvement Barakat dénonce fortement l’irresponsabilité et le laxisme de l’Etat en face du crime abject qui touche notre économie, notre écologie, et l’ignorance des revendications citoyennes criées haut et fort par nos concitoyens à In Salah.

L’exploitation du gaz de schiste est une autre forme de mépris affiché clairement par le pouvoir pour notre pays, pour notre peuple, et constitue un dérapage intolérable et un abus flagrant de pouvoir qui se fait au détriment de nos richesses, de notre terre et qui compromet gravement l’avenir de nos enfants. Une décision d’exploitation dictée par des lobbys internationaux, qui ont pour unique objectif l’exploitation outrancière des richesses nationales, au détriment de notre souveraineté et de la volonté populaire.

Le Mouvement Barakat se déclare solidaire de nos concitoyens à In Salah, et invite tous les Algériens soucieux de l’avenir de leur pays à faire barrage à ces méthodes avilissantes d’exploitation dignes des pratiques coloniales.

Nous dénonçons la fuite en avant de ce système, son abjecte instrumentalisation de la justice pour des objectifs mesquins, son deux poids deux mesures dans la gestion des affaires judiciaires. Cette justice aux ordres orientée vers la vengeance et dictée par téléphone. Une justice partiale et aux services d’une caste dénoncée par notre plateforme politique et nos actions de soutien aux militants et aux citoyens qui en font les frais.

Le journaliste Abdelhay Adessami, le journaliste Kamel Daoud, le militant et moudjahid Benyoucef Mellouk, les sept chômeurs condamnés à un an de prison ferme à Laghouat, et aujourd’hui Said Sadi, Tarek Maamri et le P/APC de Béni Rached dans la wilaya de Chlef limogé arbitrairement, ne sont que des exemples vivant de cette injustice officielle. Nous ne manquerons jamais de nous opposer a cette gabegie et de la dénoncer, d’être du côté des opprimés et des ayant droit, de pointer du doigt ces abus assumés par un pouvoir préoccupé seulement par sa survie au détriment de toutes les valeurs de citoyenneté, de démocratie et de justice.

Barakat à l’instrumentalisation de la justice, Barakat au bradage et à l’exploitation de nos richesses, Barakat à l’état jacobin et aux pratiques coloniales.

Mouvement Barakat

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Commentaires (5) | Réagir ?

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sarah sadim

Barakat al "Hadra" la parlotte barakat, enfin c'est bien de meubler notre presse de vos communiqués, attendons votre mue, non.

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laid baiid

il est difficile d'y faire face les mains nues..

Dans un meeting de benbusiness à ain el hammam, il n'a pas eu honte dire"je suis avec le pouvoir car il a l'argent et les armes!!!

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