Tamazight : indignation citoyenne auressienne

Tamazight : indignation citoyenne auressienne

Mieux vaut perdre sa liberté pour un temps et préservé sa dignité tout le temps.

Cette maxime constitue pour nous autres Algériens une vertu cardinale de ce fait, nous faisons notre devise, notre credo. Les agissements et les comportements négationnistes, réactionnaires, ségrégationnistes du vice-recteur chargé de la pédagogie au niveau du rectorat de l’université de Batna, en l’occurrence Rehal Elhadi, est une offense et nous sommes fortement indignés de surcroit après la décision du ministère de l’Enseignement supérieure et de la recherche scientifique d’ouverture d’une filière d’enseignement de Tamazight licence LMD.

A ce titre, l’ensemble du tissu associatif pour la promotion, le développement et l’officialisation de la langue amazigh informe et avise les étudiants, les militants, les sympathisants, l’ensemble des citoyens qu’ils dénoncent avec véhémence et restent totalement mobilisés pour se réapproprier son droit dans le cadre légal et useront de la force du juste droit, et ce, quels que soit les subterfuges.

Gaia Tafrent

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Commentaires (6) | Réagir ?

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Samir sam

Désolé pour les fautes d'orthographe

Cet article n'a ni queue ni tête. Désigner une personne par son nom, sur un temps accusateur, sans même expliquer exactement ce qui lui est reproché, est quelque chose de pas très rationnel. Je pense que ça relève, encore une fois, de la pathologie dont souffre le peuple algérien dans sa totalité : la haine de soi. On se déteste nous même et donc on déteste tous ceux qui nous ressemblent. Cette haine est à l'origine de cette contestation et opposition systématiques et mutuelles : le "petit peuple" n'aime pas les gouvernants, le civil n'aime pas le militaire, l'homme n'aime pas la femme, le grand n'aime pas le petit, etc... à côté de cela nous avons une admiration, qui finit toujours en trahison, de tout ce qui est étranger.

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Samir sam

Cet article n'a ni queue ni tête. Désigner une personne par son nom, sur un temps accusateur, sans même expliquer exactement ce qui lui est reproché, est quelque chose de pas très rationnel. Je pense que ça relève, encore une fois, de la pathologie dont souffre le peuple algérien dans sa totalité : la haine de soit. On se déteste nous même et donc on déteste tous ceux qui nous ressemblent. Cette haine est à l'origine de cette contestation et opposition systématiques et mutuelles : le "petit peuple" n'aime pas les gouvernants, le civil n'aime pas le militaire, l'homme n'aime pas la femme, le grand n'aime pas le petit, etc... à côté de cela nous avons une admiration, qui finie toujours en trahison, de tout ce qui est étranger.

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