« Je ne suis pas d’accord avec Addi Lahouari »

Massy : La définition que fait M Addi sur l'intellectuel n'est pas du tout rationnelle car ,elle est loin de refléter la réalité historique de notre pays et de notre peuple .Je crois comprendre qu'il est très influencé par les islamos-baathistes et ses penchants trop prononcés envers les islamistes Algériens ne date pas d'aujourd'hui ,hélàs pour lui nos ancètres berbères n'existent pas ou ne doivent plus exister ,c'est vraiment criminel de la part d'un homme qui se dit intellectuel d'occulter et de sacrifier l'hitoire réelle et authentique à celle des envahisseurs inbnou hillal ,fort heureusement les écrits d'Ibn Khaldoun et de Charles André Julien existent et éxisteront pour toujours de même que ceux de Mouloud Mammeri mais aussi de Kateb Yacine .

Ahmed Mahmoud : Le débat pseudo contradictoire entre CHAFIK et ADDI n’est d’aucune utilité car pendant que CHAFIK joue au spin doctor du système pour nous faire avaler des couleuvres, ADDI revient toujours à sa fameuse régression féconde c'est-à-dire une sympathie tellement profonde pour les islamistes et le projet intégriste qu’il n’arrive pas à la dissumuler malgré ses talents de sociologue. chassez le naturel il revient au galop car c’est là la véritable nature de ADDI . En fait CHAFIK et ADDI veulent occuper le terrain de l’opposition pour mener un même combat au profit de l’alliance islamo fasciste au pouvoir. L’algerie reconnaîtra les siens tôt ou tard et en attendant aimez la ou …quittez la.

Ghanima : Il faut sortir du cercle vicieux de la religion qu'on veut nous imposer malgré nous ,et puis comme on dit : à chacun sa religion et les vaches seront bien gardées , n'est-ce pas? pourquoi vouloir en imposer bessif à d'autres . Parlons plutot du développement de notre pays , de l'amélioration de notre environnement et de la qualité de notre vie .Les illusions unanimistes , l'intinct grégaire et le fatalisme communautaire et conformiste ne nous ont pas fait grand bien, il est temps de se remettre en question et amener nos jeunes devenir libres d'esprit ,intellectuellemnt autonomes et critiques vis à vis des mouvements d'ensemble mystiques ou sectaires qui peuvent les induire en erreur ou les empecher de lutter en permanence pour améliorer leurs conditions et d'aimer la vie dans ce monde .

Inamous : Depuis sa " regression féconde" A.L est connu pour ses penchants islamistes en plus du fait qu'il est un fervent adepte du "qui-tu-qui". 15 ans aprés la campangne d'assassinat des intellectuels, il continue à penser que "l'identité des assassins n'est pas encore tranchée". Moi je ne perdrai pas mon temps à lire quelqu'un dont la malhonnetete intellectuelle est legendaire.

Kabyliste : Si je puis me permettre, la dernière partie de l’analyse de Mr Lahouari Addi est beaucoup plus percutante pour ne pas dire très proche de l’analyse parfaite de la situation. Je vais relever quelques points que je conteste. Je cite Mr Lahouari Addi : « L'élite arabophone s'est considérablement élargie à la faveur de l'arabisation de l'enseignement et de sa démocratisation. » Effectivement l’enseignement s’est largement démocratisé. Il s’est malheureusement démocratisé au détriment de sa qualité. Je ne veux pas que mon assertion soit comprise comme étant une volonté de favoriser l’élitisme. Il n’en est rien ! J’estime que l’enseignement et le droit d’accéder au savoir doivent être des droits incontestables. Etant de la génération née juste avant l’indépendance, j’ai pu côtoyer dans mon village des analphabètes, des francisants et des arabisants. Je puis vous assurer que je suis arrivé à la conclusion que j’étais plus à l’aise avec un vrai analphabète qu’avec un arabisant. L’arabisation idéologique, dictée à nos dirigeants de pacotille par la Ligue Arabe, a détruit l’avenir de plusieurs générations et a fait des ravages chez nous. Vers la fin de l’analyse, ce passage a bien tiré mon attention. Je cite ; « Où en est l'Algérie aujourd'hui ? Les imams-enseignants ont-ils toujours le même impact après huit années de violence meurtrière ? Il semblerait que la dynamique sanglante a diminué l'impact du discours religieux dans la population et a renforcé dans des pans entiers de la population un désir de séparation de la religion de la politique. » Bonne observation ! Cependant, je demanderais à Mr Lahouari de faire un tour en Kabylie. C’est là qu’il trouvera le discours religieux des Les imams-enseignants. Le discours a juste été délocalisé pour des raisons de conjoncture et surtout par la forte volonté de miner cette région. Sinon, je tire chapeau à Mr Lahouari. Il vient de nous donner la preuve de ce que j’ai toujours martelé : Une langue est un moyen de communication, mais aussi un excellent véhicule. On communique aisément en Arabe, mais pour ce qu’elle véhicule, alors ? L’Islam est incontestablement la seule et unique réponse. L’Arabe ne véhicule rien d’autre.

CA21DZ : A Kabyliste vous dite "On communique aisément en Arabe, mais pour ce qu’elle véhicule, alors ? L’Islam est incontestablement la seule et unique réponse. L’Arabe ne véhicule rien d’autre. " quelle langue choisirez-vous, mon frere ( algerien) auccune langue n'est parfaite, faisant avec les moyens qu'on a, chaque rédgion choisit sa langue, a mon avis c'est l'ideal pour tous, personnelement je n'accepte pas le francais comme langue de science, et pour des multitudes de raisons autres, je ne pense pas que l'arabe est pour quelques chose dans la décadence de l'ecole algerienne, c'est nous qu'on se mettes des contraintes inutiles.

Khalfi Yacine : Aucun besoin de diaboliser quoi que ce soi. Les résultats parlent d'eux-mêmes. La bonne question à se poser serait pourquoi nos dirigeants n’ont pas utiliser une autre langue et une autre religion pour « asseoir leurs dictatures » ?

Mohamed : En espérant être publié, je voudrais dire que je ne comprends pas qu'on parle de compétition entre intellectuels francophones et intellectuels arabophones. A mon avis il n'ya jamais eu d'intellectuels arabophones en algerie (il y'a des baathistes islamistes et integristes). Après l'independance, il y'a eu des intellectuels francophones , mais le pouvoir algerien a tout fait pour les marginiliser, les exiler voire les assassiner . En décrétant l'arabe comme langue unique et l'islam religion d'etat , le pouvoir composé en majorité d'arabo-islamistes influencés par l'egypte et la syrie , qui ont usurpé le pouvoir par la force , ont commencé par decreter la langue arabe (arabisation de la justice , de l'éducation et de l'administration) et ils voulaient même arabiser la santé avec la loi sur la généralisation de l'arabétisation , et ce , pour marginaliser et obliger la majorité des intellectuels francophones à s'exiler et ceux qui sont restés ont été tous assassinés durant la decennie 90-2000 sous couvert de terrorisme (instauration de l'arabo-islamisme). Donc ce serait déloyal de parler de concurrence entre les deux types d'intellectuels. Il y a eu des intellectuels francophones qu'on a détruit pour arabiser et islamiser le pays , et ce, par la loi ou la matraque ou la violence physique via les islamistes.En tous cas ces arabisants imposés par la force ne constitueront jamais une elite intellectuelle , car ils ne véhiculent pas et ne défendent pas des idées universelles et démocratiques, mais juste une idéologie raciste et expansionniste.

Tirgha : Votre référence à l'Histoire officelle me laisse perplexe. La raison est qu'appartemment cette histoire n'a jamais été définie à voir les remises en cause, les atteintes aux differentes époques de notre passé, les graves atteintes et aussi les assassinats contre les acteurs du mouvement d'indépendance(Bey Ahmed,El Mokrani, Fadhma NSoumer, Emir AEKader, Messali, Abane, Boudiaf...). Cette Histoire offielle aurait-elle été définie durant la première décennie après l'Indépendance? Et si oui par qui? Monsieur Addi Lahouari on ne peut associer l'Histoire d'un Peuple, d'une nation, d'un Etat avec des individus qui ont mis main basse sur l'Algerie. Ce système poitique montre ses vraies limites. Il a réussi a renaitre au départ de Boumedienne, après 88 grace à la gestion par le chaos et a présent il est face à lui-meme. Quoi de plus sincère que la reconnaissance de l'Echec par le plus ancien de ce système et après dix ans de pouvoir (SAULTA)? Bennabi aurait du s'attaquer à la cause de cette colonsabilité de l'Algerien: sa fuite vers le religieux pervers, la soumission aveugle et ignorante au dictat du devin representé par le sorcier le plus proche de Dieu l'imam, le messie, le Zaim. Enfin le système politique en Algerie a pris l'Etat après avoir inculqué le néant, cultivé le désert dans les tetes de nos enfants. l'Universitaire découvre ailleurs la richesse de son passé.

Poitevin : La question des assassins n'a pas été encore tranchée eh! oui c'est une vérité. Si vous les connaissez ce serait un crime de ne pas les avoir dénoncé. L'intellectuel est celui qui porte un regard critique sur ce qu'il observe et ce n'est pas celui qui adopte les thèses des autres. La première identification qui a trait aux assassins d'intellectuels et artistes en Algérie est bien entendu, la jonction des intérêts du pouvoir et de l'obscurantisme religieux. C'est déjà une excellente entrée en matière d'un travail d'investigation intellectuel

Abdel : A Poitevin: Monsieur Addi ne dit pas qu'il connait les noms des assassins des intellectuels algeriens, contrairement a ceux qui crkient a tue-tete apres chaque assassinat que c'est bel et bien les terros du GIA qui en sont les auteurs. Meme pour l'assassinat de Boudiaf, ils ont voulu nous faire croire que c'etait un islamiste qui l'a assassiné. Voila, je crois que Monsieur Addi ne voulait accuser personne mais, faute de preuves tangibles, ils est legitime de douter de toutes les versions, qu'elles soient officielles ou non. Nous voulons des preuves materielles que c'est bel et bien les islamistes qui assassinaient les intellectuels. Ce n'est pas ainsi que les autorités algeriennes repliquent a chaque fois que quelque personnalité politique ou service de sécurité etait accusé dans les assassinats ou autres. Alors, nous, les citoyens, nous voulons aussi des preuves, donnez des preuves que Boumaarafi est devenu islamo, donnez des preuves quant a l'implication des islamos dans les assassinats. PS: Je ne suis pas islamo. Je ne suis d'aucune obédience politique. Je ne suis pas du courant du qui-tue. Je veux la vérité par des preuves.

Hegel2008 : Non monsiuer Addi , il y'a bien des philosophes "connus" .je vous en cite 2 ou 3 au hasard * ARKOUN * BOUAMRANE * CHAOUKI ZINE Quant aux inconnus , ils sont légions .Le philosophe dans la cité n'est pas obligé de monnayer ses publications pour se dire l'amant de la sagesse

MohandB Barkani : L'identité des assassins des intellectuels algériens n'est pas encore tranchée M. Lahouari Addi? Vous nous en direz tant! Et les résultats de la régression féconde, ils sont tranchés?

Rose : Je voudrai juste revenir sur la conclusion de cette analyse Les imams-enseignants (Par Lahouari Addi qui dit que "Il s'emblerait que la dynamique sanglante a diminué l'impact du discours religieux dans la poulation et a renforcé dans des pans entiers de la population un désir de separation de la religion de la politique" Je suis repartie en Algérie l'été dernier après 5 année d'absence (après cinq année de de concorde civile). Le constat pour moi est sans appel le ralliement des gens à des discours religieux qu'on appelerai en langage commun "extrémiste" est flagrant. le nombre de personnes en tenues ultra islamiques (burka, tchador, hidjab-plus, kamis etc ..) est impréssionnant (je parles surtout d'Alger et de Tizi-Ouzou puisque c'est dans ces deux ville que j'ai été). Ca fait froid dans le dos. La religion est partout.. Il m'est arrivé un truc de dingue à Tizi même : je voulais essayer une tenue dans en cabine d'un magasin, le vendeur (un monsieur en barbe et en kamis) m'a expliqué que c'était "haram" qu'il fallait l'acheter et essayer chez moi.. Oui à Tizi qui l'auraît cru?! On a pas vu ça même pendant les 10 années de terrorisme....

HAK : Pardon Addi! Drôle de "paradigme"! Un paradigme qui explique tous! Imam-enseigant? Enseignant-Imam? Revoir votre copie! La sociologie qui traîte de l'Algérie depuis Ibn Khaldoun jusqu'au aujourd'hui Bordieu prestigieux spécialiste de la Kabylie et des Aures, la sociologie tout court ne s'appuie que sur l'enquête et l'observation. Je dis bien l'enquête et l'observation, le reste est du domaine de l'apologie. Revoir votre copie au moins sur le plan de la vadité des informations (les vôtres sont fausses ): Hachani est ingénieur Gaz-Plastique de l'IAP de Boumèders. Il n'a jamais été enseignant, ni imam. Votre paradigme n'est pas fondé! votre thèse n'explique rien! Ne pas confondre politique et sociologie politique. Pardon Addi! Ne prennez pas vos lecteurs pour Johala au sens Ibn Khaldoun. L'Algérie a tout de même formé des citoyens qui réflichissent comme vous. Un peu plus ou un peu moins. N'inventez pas des paradigmes qui n'existent que dans l'imaginaire occidental. Hachani ou Belhadj et leurs bandes sont des politiques. Lisez Max Weber! Lisez Al Farbi ou Avereos sur le rôle du politique et de Alam (Savant). Pardon!

Kabyliste : Merci pour votre commentaire. Beaucoup auraient vu un arabophobe en moi. Chose qui n’est pas vraie. Ce qui est en revanche vrai, c’est mon aversion pour les choses imposées et l’Arabe nous est imposé pour des raisons purement idéologiques. Je vais vous donner une explication rationnelle à mes assertions concernant la langue arabe et l’Islam. Statistiquement, il doit y avoir à peu prés 1 milliards 200 millions de musulmans sur la planète et 22 pays arabes ou dits arabes (je refuse l’épithète de pays arabe pour mon propre pays, l’Algérie.) Si je vous dis que tous les pays arabes et tous les pays musulmans sont sous-développés vous me prendrez pour une mauvaise langue. Et bien, je suis désolé, ils le sont. Hormis les arabes et les musulmans qui visent dans les pays occidentaux, tout le reste vit dans des pays sous-développés. Est-ce une fatalité ou est-ce dû à des facteurs inhérents à ces sociétés qui les empêchent d’embrasser la modernité et le développement ? Je vous revoie la balle pour une explication rationnelle. NB 1: Ne venez surtout pas me dire que Dubaï, les Emirats ou l’Arabie Saoudite sont des pays développés, parce que là, vous aurez confondu richesses naturelles avec développement. NB 2 : Je tiens à remercier Ghanima pour sa lucidité et son courage. Des femmes comme elles, nous en avons cruellement besoin.

Karim Laker : Le mot « intellectuel » est un terme générique et poussiéreux promis à la désuétude au même titre que le sens et la représentation du mot « Alim » ou « Alama », espèce de démiurge enturbanné détenteur de la science infuse qui persiste à survivre dans l’imaginaire du profane et du legs idéel arabo-musulman. L’esprit analytique et critique est loin s’en faut l’apanage des intellectuels et des philosophes. L’histoire est justement truffée d’exemples d’intellectuels célèbres et autres brillants dialecticiens idéologues qui ont entraîné dans leur élans de nihilisme intellectuel des peuples entiers dans l’abîme. A l’ère de la spécialisation pointue des savoirs et savoir-faire, il faut plutôt se cantonner à sa spécialité en tachant d’être un expert dans son domaine. Cela dit, haut delà de l’intérêt de la thématique de Lahouari Addi, cette réflexion a le mérite de susciter une autre réflexion, à savoir, pourquoi est-ce que un nos intellectuels ont jours été prolixes et friands en réflexions politico-philosophiques au détriment de la philosophie de l’action ?

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Commentaires (9) | Réagir ?

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makdeux

bonjour

Moi qui suis né en kabylie, je me pose souvent la question suivante: les kabyles sont-ils allergiques à l'islamisme comme je l'entend souvent là où je vis à présent? En d'autres termes sont-ils au moins plus predisposés à la democratie par rapport aux autres algériens?

Pour moi tout est pire en kabylie. Les femmes n'en deplaise à ceux qui idéalisent vivent un état de soumission indigne, au nom des traditions et coutumes ancetrales. Cet élément, à lui seul montre à quel point cette societe est assises sur des archaismes indestructibles. Les hommes y compris des generations d'aujourd'hui sont incapables de se remettre en cause la valeur de leurs moustaches. Les libertés individuelles sont quasi inexistentes. tout le monde vit sous un controle social etouffant. la citoyenneté est un vain mot. Ceux qui ecrivent de france, du canada ou d'ailleurs devraient se renseigner sur ce qu'ils ont fui. Les islamistes que je rencontre en kabylie sont infiniment plus fermés que partout ailleurs. La revendication principale qui est la reconnaissance de tamazight ne doit pas cacher des verités douloureuses pourtant evidentes. Le paradigme kabyle, c'est aussi cela.

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mustafa

d'accord ou pas d'accord avec Mr. Lahouari il y a quelque chose d'inquiétant dans ce débat à tombeaux

ouverts où la plupart des arguments se refèrnt à des concepts identitaires qui enveniment le débat et occultent les vrais problemes. En effet on focalise sur des différences qui n'ont rien de fondamentales.

La situation est claire, actuellement, et ce, depuis longtemps le pays, la société algérienne (cela peut-être une autre société cela n'a pas d'importance) depuis qu'elle s'est dotée d'un Etat souverain indépendant, fonctionne selon un système pervers corrompu, dévoyé

au sevices d'intérêts maffieux qui se situent à tous les niveaux de la société, même de la famille.

Que faire?

Que tous ceux qui ont cette perception pour un motif personnel

ou nationaliste (malheureusement l'Etat souverain est encore une structure humaine incontournable)

doivent se mobiliser sur le terrain par des positions fortes, affirmées

publiquemnt leur lutte contre l'obscurantisme que véhiculent les

concepts religieux, linguistiques, ethniques et autres, il faut s'attaquer aux vrais problèmes tels l'inégalité

sociale à commencer par celle des femmes, l'enseignement d'un esprit

critique des valeurs républicaines

à commencer par la liberté de croire ou de ne pas croire, comme on dit si timidement "de conscience et de culte", les libetrés d'expression

sous toutes les formes, la mise au sevice des républicains des médias

lourds d'où l'on diffusera les valeurs et pratiques civiques, et

on débattra, critiquera l'activité des décideurs, où l'on dénoncera

tout ce qui peut porter atteinte

à la gestion du payse il y a et il y a matière à chaque coin de rue, sans qu'on ne soit dans un parti ou une organisation je ne rêve pas je le fais tout le temps,

alors ceux qui parlent si bien pourqoi ne se mobilisent-ils pas pour agir, c'est comme cela que s'est déclenché le 1er Novembre 54 !

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