Le bilan de vos mandats M. Bouteflika : les vérités cachées

Malgré un bilan économique calamiteux, malgré sa maladie, son âge, Bouteflika, en vrai potentat arabe se représente pour mourir au pouvoir.
Malgré un bilan économique calamiteux, malgré sa maladie, son âge, Bouteflika, en vrai potentat arabe se représente pour mourir au pouvoir.

Monsieur le président, au nom de ma citoyenneté.

Permettez-moi de commencer mon récit à partir de votre interpellation le 09 décembre 2009 par l’une des figures pures de l’histoire de novembre sous la bannière d’un titre significatif qu’est : à Monsieur le Président d’une Algérie que j’ai voulue indépendante et qui vous demande de ne plus humilier le peuple d'Algérie. Djamila Bouhired, ce symbole patriotique de toutes les femmes résistantes de l’Algérie insurgée vous revient à charge pour dire non à votre quatrième mandat. Cette icône de la révolution aurait souhaité sortir dans la rue, foulé les pavés avec le peuple pour la défense de l’Algérie. Cette patriote fait honneur à toutes nos mamans, brade avec courage votre régime et lance un appel nationaliste pour manifester pacifiquement à travers tout le territoire national contre votre reconduction tacite à la direction politique de notre pays. 

Cheb Khaled sur les traces de Cheb Mami, Ouyahia en duo avec Sellal, Belkhadem en fidélité partisane avec Bensalah et le reste des baltaguais qui meublent vos espaces politiques pour faire pousser un quatrième mandat sur le terreau de ces Algériens qui s’immolent dans l'indifférence de votre pouvoir. Vos ambassadeurs glorifient et prêchent votre passé à partir de l’une de vos photos de jeunesse pour enrôler le peuple dans un langage ironique et sans fondement. Devant un changement imminent et face à votre humiliation et à votre ignorance des attentes de notre peuple, je ne pourrai retenir la vérité qui dérange mon patriotisme et qui me pousse a vous dire tout haut ce que vos hommes pensent tout bas. 

Pour l’avenir de mon pays et le bien-être de mon peuple. Je m’adresse à vous à travers le miroir de vérité pour faire le bilan de vos trois mandats, un bilan qui me laisse perplexe et qui me donne froid au dos, un bilan qui laisse mon peuple dans la peur de voir notre Algérie de demain à la croisée d’une guerre civile et de la décomposition. Un bilan qui se quantifie à la dimension du questionnement, de désolation et d’amertume. Un bilan bâillonné par votre silence et votre absence des inquiétudes de mon peuple et de l’avenir de nos enfants. Un bilan sans chiffres, sans programme, sans projection, sans prévision, sans stratégie, sans politique de développement, sans paramètres économiques et sans avenir. Un bilan en recommandations à la frontière de la phraséologie. 

Durant vos trois mandats que vous nous avez imposé, le peuple a vécu dans la tourmente de l’attente et du désespoir, nous avons perdus le fil du présent devant un passé qui nous hante, habité par des pouvoirs fantômes aux visages multiples, en présence de vampires qui possèdent le don de sucer les richesses de notre pays et de meubler les scènes politiques pour se maintenir et maintenir le royaume du pouvoir de la nuit. 

Quinze années de tiraillement et de terrassement politique à l’horizontale devant un peuple à l’état de somnolence verticale. Votre palais d’El-Mouradia était plus animé pour protéger et consolider le pouvoir dans l’armature de votre pouvoir, un pouvoir à l’usure et en convection dans une succession dynastique. Des consensus sur le compte de notre Algérie étaient continuellement engagés dans le cadre de session de parts sociales au profit des forces supérieures en parallèles. Un puzzle qui perd une partie importante de sa configuration dans une géométrie mondiale qui évolue sur des stratégies de recherches et développement. 

Quinze années de détention à ciel ouvert, une condamnation par contumace et extrajudiciaire pour barrer chemin à la démocratie, à l’implication des forces vives de la nation dans la gestion des affaires publics de notre pays, au nationalisme, à la justice au dessus de tous, à la transparence, au partage des richesses, à l’écriture de notre histoire, au consensus politique et à la coexistence pacifique, à la liberté d’expression et aux droits de l’homme. 

Trois mandats d’improvisation et de bricolage, un champ d’expérience et d’essais sur un peuple usé devant l’analphabétisme du pouvoir, quinze années de répression pour museler la voix du peuple, enchainer les libertés d’expressions politiques et syndicales, poursuivre les acteurs de la démocratie par une politique d’harcèlement fiscal, judiciaire, policier et médiatique. L’intimidation et la peur sont les armes d’un pouvoir sans pouvoir.

Trois mandats de manigance à l’intérieur de votre palais et à la trame du royaume pour éviter l’obligation de présenter au peuple sa démission, à l’extérieur du pays pour ne pas vivre à l’écart des politiques internationales. La politique de se maintenir en équilibre à donner place et raison à la corruption qui range notre pays par la haute sphère de la gouvernance. La corruption est le prix d’une présidence sans démocratie. 

Quinze années de falsification, de détournement, d’orchestration, de machination et d’hostilité. Des anciens figurants qui ont excellé dans l'échec de votre pouvoir prennent position et reviennent sur la scène du folklore politique pour faire de la promotion et du Marketing. Le pétrole et le gaz de notre Algérie demeurent une source sucrée, le retour de ces prédateurs est un indicateur de risque et de turbulence. Le risque, le danger et l’instabilité est le prix à payer pour une gouvernance sans démocratie.

Un bilan se valorise par un ensemble d’actions et de résultats en conformité avec des objectifs à atteindre dans le cadre d’une politique de développement avec un menu de stratégies y afférentes. 

Monsieur le président, au nom de ma citoyenneté, 

En l’absence d’un organe du peuple libre et indépendant capable d’apporter à la hauteur de votre pouvoir la situation catastrophique dans laquelle se trouve notre pays. Ces vérités douloureuses, cachées par vos interprètes pour faire l’éloge d’un autre mandat qui sera certainement marqué par une faillite générale dans l’attente de dépôt de bilan.

Les Indicateurs économiques, sociaux et politiques des trois mandats :

- L'Algérie est classée 122e en matière de liberté de la presse sur une échelle de 157 pays. 

- L'Algérie classée 133e place en démocratie sur un total de 167 pays. La Jordanie (117e), la Mauritanie (118e), l’Egypte (119e). Le Maroc devance l’Algérie classée au 133e rang et la Tunisie à la 141e place,fraude électoral et absence de pluralisme politique, des libertés civiles et de culture politique) 

- L'Algérie excelle dans la construction des prisons à la place d’Établissement culturels ou garderie pour enfants. Treize nouvelles prisons ont été réceptionnées pour 19 000 places. (Le directeur général des établissements pénitentiaires, Mokhtar Felioune, a indiqué que 40,20% des prisonniers sont des récidivistes, soit 22 000 sur 55 000 détenus.

- L'Algérie se classe à la 125 places, soit la dernière en matière d'innovation. (L’Algérie est classée dernière le Soudan (124e), le Yémen (123 ème) et le Niger (123). Sur le plan régional, l’Algérie se trouve dépassée et de loin par la Tunisie (66 e), l’Egypte (87e), ou le Maroc (94e).

-L’Algérie est classée à la 157e place des pays ou il fait bon vivre sur 192 pays. (L’Algérie est créditée du score de 62 en coût de la vie, de 62 en loisirs et culture, 56 en économie, 57 en environnement, 25 en liberté, 53 en santé, 27 en infrastructure, 50 en sureté et risques, 99 en climat, soit un score final de 52 points.

-L’Algérie est classée 79 ème sur 110 pays dans l’indice mondial du bien-être. (Les experts ont pris en compte l’état de santé des habitants, le niveau de liberté, le niveau de chômage, le taux d’inflation, le niveau de vie, la qualité de l’éducation et de la santé, les institutions démocratiques, la qualité de la gouvernance, l’environnement économique et les innovations, le capital social et la liberté individuelle.)

-L’Algérie est classée 86e sur 100 dans le classement sur la compétitivité mondiale avec un score de 3,96. (L’Algérie est dernière en compétitivité économique au Maghreb, se classe derrière la Tunisie, Oman, le Koweït, Bahreïn, la Jordanie, le Maroc et l’Égypte.

-L’Algérie est classée au 148e rang mondial dans la création d’entreprises, d’emplois et de richesses sur une échelle de 187 pays. (La Banque mondiale apprécie encore une fois assez négativement l’économie algérienne, notamment dans ses deux chapitres liés au climat des affaires en Algérie et la création d’entreprises.)

-L’Algérie n’a pas progressé depuis 2010. (l’Algérie n’a pas accompli de progrès en matière de développement tout au long des dix dernières années. l’Algérie s’est distinguée par un «taux de chômage élevé, surtout parmi les jeunes, la baisse du pouvoir d’achat touche la majorité de la population et la situation de l’ancienne classe moyenne en particulier continue de se détériorer», relève-t-on. Sur le plan économique, l’Algérie est épinglée pour ses «obstacles à l’investissement, tels que l’accès insuffisant aux ressources financières, les grands obstacles bureaucratiques et la corruption généralisée»)

- L’Algérie à la 4116e place sur 6000 en matière de qualité d’enseignement universitaire, 60 ème place sur 100 au niveau africain. Lles politiques de l’enseignement de ces quinze dernières années ont fait reculer nos universités au niveau régional, africain et international, les essais dans laboratoire à ciel ouvert est un crime contre l'intelligence de nos enfants, 22% des algériens sont analphabètes, soit 6 millions d’Algériens. Le Centre a recensé plus de 6 millions analphabètes dont 60% sont des femmes et 75% des enfants âgés entre 10 et 15 ans.

- L’Algérie classée dernière aux olympiades internationales de mathématiques. L’Algérie a été classée 104e sur 104 à la dernière olympiade de mathématiques, en Allemagne. Une compétition où les candidats s’affrontent à coups d’équations et de formules arithmétiques.)

- 10 % des enfants d’Algérie de moins de 15 ans ne vont pas à l’école. 10% de nos enfants de moins de 15 ans ne vont pas à l’école et 200.000 sont renvoyés avant l’âge de 16 ans.)

- L’Algérie dans le TOP 10 des acheteurs d’armes. L’Institut international de recherche pour la paix (Sipri), un organisme basé à Stockholm, cite également l’Algérie comme le premier pays importateur d’armes au Maghreb. Des armes que l’Algérie utilise contre ses propres enfants.

-L’Algérie est classée 130ème rang mondial sur 155 pays en matière d’efficacité commerciale. Ce classement effectué par plusieurs organes financiers, prend également en compte la maîtrise des moyens logistiques et réglementaires laquelle est considérée, selon cette même étude, comme étant l’un des indices d’efficacités les plus importants.

- L’Algérie est classée à la 134e place sur le classement des banques dans le monde. Il est reproché aux banques algériennes leur système archaïque et leur service à la clientèle très en retard par rapport aux autres pays. Malgré une bonne réputation de leurs cadres et de leurs compétences techniques, la gestion des comptes et des crédits est remise en cause.

- L’Algérie est classée 104e au classement du développement humain (IDH) sur 182 pays publié par le programme des nations unispour le développement. L’indice de développement humain tient compte de l’espérance de vie à la naissance, du taux d’alphabétisation de la population et du Produit intérieur brut (PIB) par habitant en termes de parité du pouvoir d’achat (PPA.

- L’Algérie est classée 113e place dans le monde sur 133 pays en matière d’aptitudes des pays à maitriser les technologies de la communication. L’évaluation de l’aptitude des pays à maîtriser les technologies de la communication se produit selon trois principaux critères: le climat politique et économique approprié pour le développement des nouvelles technologies, le degré d’utilisation des nouvelles technologies de l’information et de la communication et le niveau de l’évolution technologique.

- L’Algérie est classée dernière au monde pour l’acquisition de réseau internet haut débit. Compilant les données, à partir de millions de visiteurs qui ont testé leur connexion sur le Speedtest.net, la société américaine Ookla a conclu que les utilisateurs algériens d’Internet haut débit sont moins bien servis que ceux des 127 autres pays du monde. Sur 600.000 petites et moyennes entreprises que compte le pays, moins de 20 % ont accès à l’internet, les moteurs de recherche des entreprises nationales sont les plus faibles au monde.

- Plus de 6 millions d’Algériens vivent en dessous du seuil de la pauvreté. Selon les estimations des programmes des Nations Unies pour le développement et de la Banque Mondiale, Le niveau social d’une grande catégorie d’Algériens n’a pas vraiment changé, suite au partage inéquitable de la fortune et des revenus de Algérie. Les employés qui touchent des salaires variant entre 15 et 35 mille dinars constituent plus de 60% de la masse salariale, alors que employés dont les salaires sont estimés entre 60 et 300 mille dinars constituent moins de 10% de cette dernière. Selon les institutions internationales, 2,8% des revenus de l’Algérie sont répartis sur 10% des classes les plus démunis de l’Algérie, alors que 20% des catégories les plus riches bénéficient de 42,6% de la fortune et des revenus. De ce fait, les classes sociales commencent à apparaître suite à l’ouverture et à la libération du marché. Une partie de la classe moyenne commence à disparaître graduellement et à rejoindre la classe pauvre.)

- Alger la blanche d’antan est classée à la 136 ème place sur 140 villes. Elle arrive juste avant Harare, la capitale Zimbabwéenne, Dacca (Bangladesh) et Port-Moresby (Papouasie Nouvelle-Guinée). Ce classement a été fait sur la base de plusieurs critères qui semblent tous manquer à notre capitale.) Pour compléter la liste des résultats de ces quinze années de gestion désastreuses, je vous signale que :

L'Algérie est classée le premier pays qui enregistre le plus de suicide au monde en relation avec le désespoir de sa population, de l’injustice, de l’exclusion, de la répression, de la torture et de l’humiliation de son peuple et de sa jeunesse en particulier par votre régime, Mille sept cents (1700) suicides par immolation, pondaison, empoisonnement, etc. L’Algérie est classée dernière au Maghreb en matière de respects des droits de la femme et de l’égalité entre les sexes. la femme algérienne est considérée sous citoyenne.

L’enfant reste le dernier sujet de la politique du gouvernement face à la maltraitance, à l’exploitation, à la pauvreté, à l’inceste, à la pédophilie, à la rue. L’enfant algérien est la proie mure d’une société en perdition. L’exemple de la mort et la disparition des bébés à l’hôpital de Djelfa est une preuve irréfutable de l’absence de considération aux crimes commis sur des enfants sans défense. 

Des centaines de jeunes courageux en désespoir fuient le pays dans des embarcations de fortune au risque de leur vie pour aller vivre ailleurs, préfèrent offrir leur corps dans la dignité aux poissons en haute mer que de subir l’humiliation des crocodiles de notre terre. 

75.000 familles ont quitté la patrie durant ces quinze dernières années.

75% des jeunes souhaiteraient quitter l’Algérie, les algériens en tête des immigrants en France et au Canada. Pour votre quatrième mandat notre pays se videra de sa jeunesse. 

100.000 Algériens (universitaires) quittent chaque année le pays à destination du canada, les USA, l’Europe, le moyen orient et l’Afrique.

1.500.000 consommateurs de drogue, de 12 à 35 ans trouvent un marché fructifiant à l’ombre de ceux qui vous soutiennent pour perdurer dans ce marché du Haram. 

Trente milliards de cigarettes grillées chaque année dont 61,1% produites par SNTA qui à contribué a plus de quarante milliards de DA à titre des recettes fiscales pour le trésor public. 650 cas de morsures par des rongeurs ont été enregistrés dans la wilaya d’Oran depuis le début de l’année 2010.

Ce palmarès des records négatifs est la production responsable des pouvoirs publics, ne fait pas honneur à notre pays et fait rougir nos compétences isolées pour leur amour à la patrie et leur dévouement au bien être de notre peuple. La liste noire est encore longue et la descente vers les ténèbres de l'incompétence est toujours en vigueur. 

Notre Algérie est classée dernière dans tous les domaines, sauf dans la corruption où votre régime excelle en première position, Non seulement notre pays ne fait pas d’effort pour stopper ce phénomène destructeur, mais bien au contraire cette stagnation s’explique par l’absence de volonté politique au plus haut niveau de l’état à lutter contre la corruption. Pour des raisons de convenance, d’implication et sous la pression des pouvoirs de coulisses, l’APN rejette la requête d’une commission d’enquête parlementaire sur la corruption. L'Algérie de 2014, roule et croule sur les scandales et se trouve classée aujourd’hui parmi les autocrates les plus corrompus de la planète.

Nous occupons une place qui déshonore nos ancêtres, ces hommes et femmes qui ont combattus pour une Algérie exemplaire et non la risée du monde

Liberté d’expression et revendication citoyenne :

• Centaines de manifestation des professionnelles et des citoyens de tous les quartiers, villes de notre Algérie contre la politique de la Hogra et de l’exclusion réprimée dans le sang et la torture. 

• Centaines de marches pacifiques sauvagement réprimées par la police 

Le reste de l’iceberg est toutes ces sociétés a écrans, anonyme, au nom d’emprunt, au nom des étrangers «turque - syrienne - irakienne - chinoise - italienne et autres» qui opèrent dans l’ombre au compte de la misère d’un peuple.

La justice, fait fonction de remplissage de tous les établissements carcéraux par des décisions arbitraires prononcées par des magistrats au solde du pouvoir face à une population meurtrie et sans défense.

Monsieur le président,

Mon pays est condamné à changer pour sortir des sentiers de la gabegie et du mensonge, votre reconduction à la tête de la nation ne fera que ralentir le développement et faire asseoir mon peuple dans la pauvreté et la misère. 

Avez-vous le droit de priver mon pays de suivre le monde dans sa marche vers la démocratie et le développement ?

Avez-vous le droit de s’accaparer de ma voix et celle de mon peuple ?

Avez-vous le droit d’exclure la jeunesse de la destiné de leur patrie ?

Avez-vous le droit d’avoir tous les droits pour être au-dessus des droits de mon peuple ?

Brahim Gater

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Commentaires (8) | Réagir ?

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ramo1169

Pourquoi parler de bilan Monsieur Gater;pensez vous réellement que le bilan, politique, economique et social ; importe a cette classe nouvelle, pleine d'argent ;bien ou mal gagné:il est la!!!

Pour la première fois le pouvoir militaire se retrouve face une classe qui n'est pas prête a lâcher son train de vie!!!

Parmi les militaires figurent aujourd'hui des, officiers qui ne comprennent pas la route prise par l’Algérie depuis 62 (même si ont leurs a bien expliqué, la guerre froide..... ils doutent)

Le bilan de Boutef' est le coup de pied qu'il vient de donner dans la fourmilière;espérant ainsi rentrer dans l'Histoire;comme l'homme qui a crée la nouvelle Algérie de demain.

N'oubliais pas que la "liberté" en France en l'occurrence ;a été obtenu grâce aux Bourgeois;le pouvoir de l’époque s'est retrouvé coincé par cette classe qui réclamait au Roi leurs droits

En conclusion;Boutef sait qu'il n'a as de bilan:il compte sur l'Histoire, pour le juger et y rester... , le bougre , c'est bien vu

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khelaf hellal

Le pouvoir grise et fait perdre la raison, les paroles de sagesse ne l'influenceront pas ni le toucheront. Il est dans un état second qui lui fait croire qu'il est le nombril de la terre et qu'il n'est pas fini. Dans ces situations de culot démesuré, un bon coup de pied au cul " dégage ! "serait plus efficace que tous les conseils du monde.

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