L’Algérie a besoin d’un homme d’État

Alger.
Alger.

Un politicien travaille pour les élections politiques, un homme d’état travaille la patrie et la démocratie. (Brahim Gater)

L'Algérie à besoin d’un homme d’Etat porteur d’un projet de société véritable, générateur de réforme et d'édification. Nous avons le devoir et l’urgence de quitter la configuration de l'état primitif pour rejoindre la cour des nations civilisées. Le temps discours à tambour est révolu, la gestion de la gouvernance à évolué à la vitesse du changement climatique, aux nouveaux concepts de coopération, aux politiques de la mondialisation avec ses répercutions sur les ressources naturelles et finalement aux stratégies de repositionnement sur l'échelle des valeurs et de rapport de force. 

Notre Algérie dispose de tous les moyens nécessaires pour offrir à son peuple une vie meilleure, le droit d'équité, le respect et de la dignité. Des patriotes porteurs de grandes connaissances dans des matières de gestion, de recherche et de développement, qui sont capables de relever le défi de notre temps, moisissent dans des postes pour faire de la figuration et former la silhouette d’un état à l’état d’inertie. D’autres, font le bonheur de grandes institutions du monde occidental qu’ils leur offrent le mérite, le respect et l’équivalence. Ces universitaires algériens qui excellent dans la sphère de la recherche et du développement sont sources de créations, d’inventions et de productions dans des secteurs multiples et pour des états du Nord. Abandonnés par le mercantilisme de l’état sans état d’âme, Une perte pour notre pays qui pleure l’absence de ses enfants, poussés par l'égocentrisme d’un pouvoir en situation irrégulière, sans paternité et sans identité. Ces hommes nient le droit d’un peuple d’avoir des droits de devoir et de liberté. Ces hommes continuent de manigancer par l’intrigue et malhonnêteté le maintien du pouvoir comme une succession divine. 

L'Algérie dispose de patriotes et d’hommes intègres capables de travailler le pays avec amour et engagement indéfectible. Ces hommes et ces femmes qui refusent la fraude et le mensonge ont la honte de se voir farcis dans une autre supercherie au goût amer, qui se dessine à l’horizon. La sagesse doit prévaloir sur l’amour des privilèges et que ce comportement de H’chouma doit disparaitre et laisser place à des comportements moraux exemplaires et irréprochables.

Des richesses naturelles se vident et coulent à flot dans des caisses à ciel ouvert, une rente pétrolière qui fait le bonheur de certains et le malheur du peuple. Cette richesse puisable qui doit apporter au pays un succès économique certain est réorienté vers la calcification d’un pouvoir d’hommes qui refusent le bien d’un peuple. Les richesses de notre pays sont les biens de toutes les générations futures, l’emplacement de ces capitaux doivent être orienté vers des projets de création de richesses inépuisable et demeure un devoir de tous envers la patrie. La main mise sur ces biens par ceux qui refusent la démocratie et la justice au-dessus de tous relève d’acte de vandalisme et de confiscation de biens de la nation. 

La patrie à besoin de tous ses enfants sans exclusion et que le favoritisme avec l’ensemble de ses tentacules redeviennent une histoire du passé. Ces super-hommes avec des super-pouvoirs qui se reposent par dessus de la loi doivent comprendre que la paix, l'épanouissement et le développement ne sont pas des résultats de l’utilisation de la force mais le fruit du respect de la patrie par tous et pour tous. 

Notre peuple est dans le besoin d'écouter des discours axés sur la science, la technologie et l'économie, des mots riches qui redonnent confiance aux parents et offre une place de prestige à l’école algérienne, une institution clochardisée qui à souffert des vents et des marrées. L’école Algérienne a atteint le fond, il faut arrêter qu’elle creuse davantage. Le savoir doit être le moteur des reformes de l’ensemble des secteurs qui ont des cicatrices, des traces de ceux qui prônent encore un autre mandat pour décapiter le pays, une séparation forcée du peuple de sa patrie.

Le devoir au service de la nation doit s'arrêter à la frontière des capacités physiques et la possibilité de mener ses taches à la grandeur des attentes de notre peuple et à la dimension des responsabilités nationales et internationales. La sagesse et de léguer le pouvoir dans le cadre du respect de nos valeurs historiques et de la démocratie. 

Démos (Brahim Gater)

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Commentaires (5) | Réagir ?

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khelaf hellal

Il nous faut un président, homme d’État, un président qui nous fasse sortir du cercle vicieux de la religion, sortir des fausses illusions et des fausses solutions, un président légitime détenteur d'un grand leadership pour nous mener à bon port, un président clairvoyant, innovateur, progressiste. un président qui ne se laisse pas entrainer dans les sables mouvants du populisme crasse, du charlatanisme et de l'obscurantisme idéologique. Notre pays mérite mieux que cet immobilisme dévastateur, ces silences stériles et sclérosants, ces pertes de temps précieux dans la médiocrité et les fausses solutions. Un président qui nous ramène pas dans sa valise des coopérants cleptomanes et dandy Arsène Lupin.

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Massinissa Umerri

Je crois que je vais enregistrer un seul brevet en Algerie, un programe de traduction de textes avec un vocabulaire francais, et qui renverse l'ordre des mots. Je suis a la recherche de commandes.

Apres, jel'exporterais pour repondre aux attentes de notre tres tres cher peuple et à la dimension de toutes les responsabilités nationales et internationales et inter-galactiques. La sagesse et de léguer le pouvoir dans le cadre du respect du respect democratique !

Plus serieux, depuis que j'ai vu un documentaires sur les Asiatiques qui mangent des singes comme une delicatesse, j'ai perdu le gout a toutes les filles 99% nues que google et je ne sais qui m'affiche de force sur l'ecran.

Les singes en questions ont 5 doigts (quelqu'un peut-il m'expliquer pourquoi il foutent un un g et un t dans le mot doigt ? Voila la vraie source des problemes de notre tres tres chere patrie.

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