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10-10-2015 | 15:16 Douce France, douce souffrance
Analyse

Douce France, douce souffrance

"Quand je rentre au bled, je reste plusieurs jours cloîtré chez moi, je me sens dépaysé et j’ai peur d’affronter le regard des gens !" c’est ainsi que s’est exprimé Karim, 26 ans, étudiant en lettres...